[Fic YGO] Tome II : Menace Temporelle

Chapitre 6 :
L’épicer de Limes.

Le temps se gâta lorsque les trois compagnons arrivèrent à mi-chemin de Limes. En effet, le soleil avait laissé place à des nuages sombres, et la pluie tomba à grosses gouttes et surprit les voyageurs.
Ils s’abritèrent donc sous un arbre et Antoine et Alexia discutèrent avec Kinn.
Les deux duellistes du 21ème siècle en profitèrent pour lui poser toutes sortes de questions. Ils apprirent que Kinn avait 19 ans – ils s’étaient donc trompés en pensant qu’il avait environ le même âge qu’eux – et qu’il était chasseur. C’était lui qui s’occupait de ramener de la viande pour les repas. Il vivait encore chez ses parents et c’était lui qui se chargeait d’aller au marché lorsque son père n’y allait pas. Le jeune homme leur en avait également appris un peu plus sur Hector et Marge.
Hector travaillait dans la forge de Limes et ne gagnait pas énormément d’argent. Marge, elle, ne travaillait pas et s’occupait des tâches ménagères de la maison.

L’averse avait durée une heure et les voyageurs décidèrent de se hâter afin d’arriver au plutôt à Limes, si ils voulaient avoir une chance de rentrer à Oblivio avant la nuit.
Chose dite, chose faite. Ils ne mirent qu’une heure et demie avant d’arriver sur la place du marché.

C’était totalement différent de ce qu’Antoine s’était imaginé ou des marchés de leur époque. Le duelliste ne s’attendait à voir des gens se tenant debout sur des tabourets en bois vantant de toute leur voix leurs produits afin de concurrencer leurs voisins ; ni à voir des gens assis à même le sol vendant des fruits et légumes d’une drôle de couleur – sûrement périmés - ; et encore moins des enfants à moitié nus courant partout et volant au passage quelques pommes.
Les choses avaient bien évoluées en 700 ans !

Kinn devait se rendre chez l’épicier. Antoine reconnu la boutique grâce à l’enseigne suspendue à l’entrée, enseigne qu’il avait déjà vue dans les livres d’histoire en cours. Ils poussèrent la porte et entrèrent dans la boutique.

L’épicerie était faiblement éclairée et assez sale. Des meubles sur lesquels étaient disposés les produits étaient placés ici et là. Une grande armoire située au fond de la pièce avait ses portes ouvertes et depuis l’entrée, on pouvait apercevoir toutes sortes de flacons et bouteilles.

« Bonjour jeunes gens, que puis-je pour vous ? »

Antoine sursauta sur le coup : il n’avait pas aperçu le petit homme trapu en entrant dans l’épicerie. L’homme portait un bonnet d’une couleur rouille et ne devait pas s’être rasé depuis quelques jours déjà. Il portait un couteau à sa ceinture et avait, de ce fait, l’air menaçant et près à protéger sa marchandise.

« Il me faudrait ces épices, dit Kinn en tendant un bout de papier – enfin, si cela s’appelait et était du papier à cette époque – sur lequel était inscrit le nom de différentes épices.
- Hmmm, fit le commerçant en prenant la feuille. Je vais vous chercher cela. »

Sur ce, il disparut derrière un rideau situé près de l’armoire. Alexia s’approcha d’un meuble et prit un petit flacon contenant un liquide rougeâtre entre ses mains.

« Tu sais ce que c’est ? demanda-t-elle à Antoine. De l’urine de chien !
- Et à quoi ça sert ? demanda Antoine.
- On en prend lorsque nous avons des problèmes de digestion ou que nous avons des fortes toux, expliqua Kinn.
- Et bah dis donc …, dit Antoine.
- Quoi ? demanda le jeune homme.
- Non rien, je … je ne savais pas que l’on … bref, acheva Antoine. »

Antoine se retint de parler des médicaments et des antibiotiques à Kinn et ne fit pas la remarque à Alexia de peur que le chasseur ne l’entende.

« Repose ça maintenant, dit Kinn à Alexia, revoilà l’épicier. Il croit pas mal de choses et pourrait croire que tu es en train de le voler. »

Effectivement, Kinn avait raison. L’épicier entra dans la pièce à l’instant même où Alexia avait reposé le flacon.
Il se dirigea vers ce qui devait lui servir de bureau sur lequel était également posé un flacon. Mais contrairement aux autres, son contenu était d’un noir intense et le flacon était en forme de « O ». Antoine avait le pressentiment que le contenu du flacon n’allait pas servir à de bonnes fins, et le prit entre ses mains.

« Qu’est-ce que c’est ? demanda-t-il.
- Posez cela immédiatement ! rugit l’épicier de mécontentement. Cela ne vous regarde pas ! »
Visiblement, Antoine avait vu juste. Ce flacon avait quelque chose de spécial. Il défia l’épicier du regard mais se ravisa quand il le vit porter sa main à sa ceinture. L’homme n’avait pas l’air de plaisanter.

« Vous faut-il autre chose ? demanda l’épicier qui n’avait plus qu’une seule intention : les faire sortir au plus vite de sa boutique.
- Non c’est tout ce qu’il me fallait, dit Kinn en prenant les épices emballées dans du papier – et oui pas de sacs plastiques ! – combien vous dois-je ?
- 17 Sensis, abrégea le commerçant.»

Des Sensis ? La monnaie de l’époque ? L’équivalent de l’Euro ? Combien cela en valait ? Cette question intriguait Antoine et le jeune homme se retint de la poser lorsque Kinn sortit d’une bourse quatre pièces rondes en argent et deux carrées en bronze.

« Ce type est vraiment louche. » pensa Antoine lorsque l’épicier ferma la porte de la boutique à clé et la ferma ainsi pour le restant de la journée.

Ils se dirigèrent vers le centre de la place du marché. Antoine comprit alors que les journées de marché devaient vite tourner à la zizanie. On entendait de tous côtés :

« Achetez mes salades ! Mes belles salades toutes fraîches de Lucis ! »
« Mes pommes de terre de Recessus ! Mes belles patates ! Venez, venez acheter mes bonnes patates ! »
« Ah, ils sont beaux mes radis de Satelles ! Venez, venez ! »

Finalement, ils optèrent pour des poivrons de Lacrima, trois salades de Carmen, et des pommes de terre de Venia.

Le soleil descendait rapidement dans le ciel et les trois compagnons en furent surpris. Ils n’avaient pas le temps de rentrer à Oblivio et devaient donc trouver un endroit où passer la nuit.

Kinn devait très bien connaître la ville car il dirigea les deux adolescents vers une auberge située à proximité de l’épicerie nommée : « Au Bon Vieux Temps ».

« C’est le cas de le dire » pensa Antoine.

L’auberge était fortement éclairée et il régnait une odeur de tomate cuite. Antoine comprit d’où venait cette odeur lorsqu’il tourna sa tête vers la droite et vit une porte ouverte derrière laquelle des cuisiniers faisaient cuire des tomates dans un énorme trou creusé à même le mur.
Là encore, il se retint de leur faire remarquer qu’un four serait beaucoup plus pratique.

Kinn se dirigea vers un homme assis sur une des vingt-trois tables de la pièce dans laquelle il se trouvait. Ce dernier lui serra chaleureusement la main. Les deux hommes devaient bien se connaître. Kinn lui expliqua leur situation et l’homme, qui s’avérait en fait être le patron de l’auberge, leur offrit un repas – à la grande surprise d’Antoine, à base de tomates cuites – ainsi qu’une chambre pour la nuit.

Le repas n’avait pas été succulent, mais les deux adolescents devraient s’y habituer car ce ne serait pas le dernier. Quant à la chambre, c’était … non, il n’y a pas vraiment de mot pour définir cette pièce sans lumière, salle de bains, toilettes, mais composée uniquement de deux modestes lits avec un bout de tissu en guise de couverture qui se trouvaient au beau milieu d’un tas de poussière.
Rien à voir avec les hôtels de luxe auxquels était habitué Antoine.

Antoine dormait étrangement bien mais il fut réveillé par un bruit de casse et des cris venants de la rue. Alexia et Kinn se réveillèrent également. Ce dernier ouvrit les volets de la seule fenêtre de la pièce : il parut terrifié et se poussa afin de laisser place à Antoine. Le jeune homme fut immobilisé par la peur quand il vit le ciel rougeâtre au beau milieu de la nuit. Un bâtiment était en feu.

« A l’aide ! Au feu ! L’épicerie est en feu ! »

Antoine se pencha un peu plus et eût le temps d’apercevoir un homme aux cheveux blancs muni d’une épée s’en aller au loin sur un cheval d’un noir intense.

Que de différences entre 1300 et 2008 ^^
A vos coms !

[ Dernière modification par kaiba08 le 13 fév 2008 à 11h24 ]

Voici donc la première apparition (je pense ^^) d'un des personnages principaux de l'histoire !
J'ai ma petite idée quand à son identité, mais rien n'est moins sûr... Cet événement semble être une sorte de déclenchement laissant au lecteur un tas de suppositions. Le vendeur de la boutique, ce flacon... et enfin cet homme mystérieux à l'épée. J'ai vraiment envie de découvrire la suite

Hm, un flacon en forme de " O "...

Le 12/02/2008, kaiba08 avait écrit ...

des cuisiniers faisaient cuire des tomates avec un énorme four.
Là encore, il se retint de leur faire remarquer qu’un four serait beaucoup plus pratique.

Ben...

Sinon, je crois savoir qui est l'homme aux cheveux blancs...
Je dirais qu'il s'agit du Grand Maître des Six Samouraïs, et qui est monté sur... le Coursier d'Ébène Légendaire ? Et il part avec le flacon au contenu noir ?
(désolé si je te gâche ton effet de surprise )

EDIT : je l'savais !
Dépassé par supertux -_-

[ Dernière modification par Zihark le 12 fév 2008 à 21h57 ]

Juste une chose avant tout :

Des Sensis ? La monnaie de l’époque ? L’équivalent de l’Euro ? Combien cela en valait ? Cette question hantait Antoine

C'est peut-être un peu excessif d'utiliser le mot "hanter" dans ce cas de figure, cela n'est rien d'autre qu'un détail (sauf si il y a vraiment une raison particulière, ce qui ne me semble pas être le cas mais bon, qui sait ... ) ... "Intriguer" serait un peu plus juste je pense.

Sinon, l'expérience doit être difficile pour nos deux ados ... Le confort de cette époque doit leur sembler bien rude. Cela dit, ca me rappelle de bons vieux souvenirs de RPG à la Final Fantasy (comme la séquence avec le gars dans l'épicerie).

En ce qui concerne le bonhomme qui vient provoquer le réveil de la cité (sûrement pour le flacon responsable de l'embardée de l'épicier), je pense tout comme Zihark qu'il pourrait bien s'agir du Grand Maître chevauchant un Coursier d'Ebène Légendaire.

Mais bon, on attend la suite pour savoir !!!

Je dirais qu'il s'agit du Grand Maître des Six Samouraïs, et qui est monté sur... le Coursier d'Ébène Légendaire ? Et il part avec le flacon au contenu noir ?

C'est une supposition parmi plein d'autres

Sinon, j'ai modifié hantait pour FFY et j'ai changé les répitions des mits "four" ^^
Je ne savais pas trop comment cela s'appelait à cette époque donc j'avais appelé ça four ... donc j'ai modifié par "un énorme trou creusé à même le mur", comme ça, vous vous faites une meilleure idée des fours de 1300 xD

Je rattrape mon retard lol

Chapitre 7 :
Des nouvelles bouleversantes.

« Ce feu n’est visiblement pas survenu suite à un accident, annonça un garde, et je pense que le coupable n’est autre que cet homme qui s’est enfui à cheval. »

Antoine, Alexia et Kinn se trouvaient dans les restes de l’épicerie. Cette dernière avait totalement brûlée et les efforts des villageois pour tenter d’éteindre le feu n’avaient servi à rien.
Des gardes – qui devaient servir d’enquêteurs – étaient arrivés sur place une heure après l’incendie. Ils s’étaient avancés dans les restes de l’épicerie pour constater l’étendue des dégâts. Tout avait été brûlé : flacons, parchemins …

Antoine s’était avancé dans les débris afin de voir si le flacon mystérieux de veille était intact ou si il avait été brisé.
Miraculeusement, certains flacons n’étaient pas brisés et Antoine pouvait donc reconnaître leurs formes.

« Et voilà j’en était sûr, dit Antoine après dix minutes de fouilles minutieuses, le flacon n’est plus là.
- Il a peut-être été brisé ? suggéra Kinn.
- Ou volé, lui répondit Antoine. »

D’ailleurs, ça ne pouvait être que ça. L’épicier avait attaché beaucoup d’importance à ce flacon et n’avait pas voulu leur révéler son contenu. Le flacon devait être important aux yeux du voleur et il devait en avoir besoin pour réaliser telle ou telle chose. Tout ce tenait. Mais on ne pouvait en être sûr qu’en le demandant à l’épicier. Mais voilà, on ne trouvait aucune trace de ce dernier. Disparu ? Tué ? Brûlé ? Voilà les hypothèses des gardes.
Antoine n’en croyait pas un mot et était sûr que le commerçant était encore en vie. Cependant, ses espoirs s’évanouirent lorsqu’il reconnu le couteau que portait l’épicier la veille. Il était tâché de sang.

« Regardez ! dit Antoine aux gardes. Il a dû y avoir une lutte.
- Oui, en effet. Regardez ce que j’ai trouvé chef ! dit le garde en s’adressant à un homme légèrement plus grand que lui, vêtu de la même armure et du même casque à pointe.
- Belle trouvaille, examinons cela. »

Ces paroles laissèrent Antoine sur place. Il ne trouvait aucun mot pour exprimer ce qu’il ressentait. Ce garde avait osé s’approprier sa trouvaille et la rapporter à son supérieur, si Antoine était au 21ème siècle, cela ne se passerait pas comme ça et il le défierait immédiatement en duel, et gagnerait bien sûr, et remettrait du coup le garde à sa place. Mais d’ailleurs, où était son deck ?!
Il s’approcha d’Alexia et lui fit part de la mauvaise nouvelle.

« Mais c’est vrai ça ! Je n’ai pas le mien non plus ! s’écria Alexia. Mes cartes ! Ma cyber trancheuse ! Rhaaaaaaa !
- Et moi alors ? Tu crois que ce n’est pas grave ? Le deck du champion de France perdu !
- Mais … tu n’as plus rien ou il te reste des cartes ?
- Mais oui ! Tu es géniale ma puce ! s’exclama Antoine en embrassant Alexia ce qui eut pour effet de faire rougir Kinn qui avait surpris la scène de loin. Dernier Amour et la Flèche de Cupidon doivent bien se trouver quelque part puisque c’est grâce à elles que nous sommes ici !
- Non, ça c’est que nous supposons, lui fit remarquer Alexia.
- Oui et c’est sûrement ce qui s’est passé. Ah les voilà, dit Antoine en sortant les deux cartes de la poche de son jean qu’il avait conservé. Etrange qu’elles soient encore sur moi …
- Oh ! s’exclama un garde avant de tomber par terre sous l’effet de la surprise. »

Tout le monde se tourna vers lui et constatèrent avec effroi sa découverte. Sous des planches se tenait le corps sans vie de l’épicier. Une énorme tâche de sang tâchait son maillot au niveau de son cœur. Le voleur avait dû le tuer avant de s’emparer du flacon et de s’enfuir.

« Chef, Chef ! Je pense que le voleur a tué l’épicier et s’est enfui après lui avoir volé quelque chose ! dit le garde voleur d’idée.
- Oui effectivement, félicitations garçon ! Tu auras droit à une petite prime ! »

Antoine resta une nouvelle fois sur place, et se retint de ne pas exploser de colère et de s’attirer d’éventuels ennuis.



« Encore un peu de thé ? demanda poliment Marge à Antoine.
- Non merci, répondit ce dernier. »

Les trois amis étaient rentrés en début d’après midi à Oblivio. Ils avaient fait part de leur voyage à Marge et Hector, et ce dernier leur avait fait part de son avis ?

« C’est forcément les Six Samourais ! Il n’y a qu’eux pour faire une telle chose ! Eux seuls sèment la terreur dans le pays !
- Mais il n’y avait qu’un seul homme sur le cheval ! objecta Antoine.
- Et alors ? Cet homme pouvait très bien être leur maître ou un de ses hommes !
- De toutes façons, on ne le saura jamais car personne ne l’a bien aperçu, dit Marge.
- Si, moi, dit Antoine. »

Tous les regards se tournèrent vers lui et il se sentit obliger de détailler ce qu’il avait vu.

« Il était assez grand, avait de long cheveux blancs et portait une longue épée. Son cheval était d’un noir intense.
- Tu as eu le temps de voir tout ça ? demanda Alexia flattée.
- Ben faut croire ! plaisanta Antoine.
- Bref, cette discussion n’a ni queue ni tête donc il ne sert à rien d’épiloguer là-dessus ! s’exclama Hector en mettant fin à la discussion. »

Le silence régna dans la pièce jusqu’à ce que des bruits de pas précipités se fassent entendre dehors sur la place du village – située juste à côté de la maison d’Hector et Marge –. Les cinq personnes se décidèrent donc à sortir afin de voir ce qui était responsable de cette agitation.
Ils eurent leur réponse dès leur sortie de la maison. Une trentaine de personnes était regroupée autour d’un panneau d’affichage. Un avis avait été placardé dessus.
Ils réussirent à se frayer un chemin parmi la foule qui ne cessait de s’accroître et Antoine lit l’avis qui avait été griffonné avec soin à voix basse.

Avis de recrutement

Les Six Samouraïs recrutent des personnes capables de se battre et d’obéir clairement aux ordres qui leur sont donnés. Tout engagement est définitif et l’engagé ne pourra en aucun cas revenir sur sa décision.
Pour information, l’incendie de Limes était volontaire. L’épicier n’avait pas respecté un engagement et avait trahi ma confiance. Voilà le sort que nous réservons aux traîtres et aux lâches. Les personnes ne venant pas se faire recruter seront considérées comme lâches et subiront donc le même sort que le regretté épicier.
Les recrutements se feront jusqu’au 19 mai à Satelles.

G.M.


« Ah ben ça alors, dit Hector à voix basse. »

I've got the first com ^^
Bon, ça confirme ce que je pensais...
C'est bien le... Grand. Maître. des 6 samouraïs qui est derrière tout ça.
Mais... ils prennent le risque de tuer 99% de la population? C'est bizarre O_O

Enfin...
Moi j'suis triste, j'aime bien les 6 Samouraïs...

EDIT : j'ai battu un record de temps ^^

[ Dernière modification par Zihark le 13 fév 2008 à 19h24 ]

Mais... ils prennent le risque de tuer 99% de la population? C'est bizarre

Tu fais toujours tout ce que tu dis toi ? ^^
Attention, je ne dis pas qu'ils ne le feront pas

Bon 2 suites en 2 jours c'est trop ? xD
Vous n'arrivez plus à suivre ?

si Antoine était au 21ème siècle, cela ne se passerait pas comme ça et il le défierait immédiatement en duel, et gagnerait bien sûr

... Quel présomptueux
C'est étrange mais j'ai dans l'idée qu'on ne va pas voir beaucoup de duels dans cette deuxième saison ... Du moins pour l'instant car si les cartes d'Alexia et d'Antoine n'ont aucune existence dans le monde où ils ont atterri, dur dur ... Cela dit, il reste tout de même les deux cartes spéciales (à un moment, j'ai cru que c'est elles qui avaient provoqué la surprise du garde et il en eut été peut-être mieux ainsi d'ailleurs. Le malheureux n'aurait pas eu à supporter le choc de sa macabre découverte mais bon ... on ne peut pas tout avoir).
Sinon, que dire ... Ah oui !

Pour information, l’incendie de Limes était volontaire.

Je suis admiratif devant la sollicitude de G.M (ou Grand Maître peut-être comme le suggère si justement Zihark). "Pour information" quand même Il aurait simplement pu le sous-entendre mais nous avons à faire à quelqu'un qui assume au moins. Cela dit, je doute fort qu'il le soit autant en permanence

Les personnes ne venant pas se faire recruter seront considérées comme lâches et subiront donc le même sort que le regretté épicier.

Jolie menace en l'air ! On leur dira ... Car sinon, soit les recruteurs vont passer des nuits blanches, soit leur clan va avoir du boulot. Remarque, quand la populace s'unit, l'envahisseur rencontre souvent quelques ... revers ... Je vous renvoie à vos cours d'histoire ... ou à vos connaissances télévisuelles (ce se dit ça ?! ouais bon, tout ce qui est animes, films et autre).

Cool la suite !!!!



Continue , CONTINUE !!!!

moi aussi j'avais pensé au grand maître des 6s. bon chapitre et le G.M (alias le grand maître des six samourais) est un enfoiré, la menace qui tue, vous pouvez vous recruter si vous voulez, mais vous êtes obligé de bien vouloir . moi je dis que ca va se compliquer pour nos deux héros, puisque si le peuple se rallie au GM, (ce qu'il fera je pense puisqu'il ne veux pas mourir) antoine et alexia seront leurs ennemis, je parie que c'est un piège du GM pour qu'antoine et alexia ne puissent continuer à être hébergé, et come ils n'ont pas leur cartes ils se feront décimer s'ils rencontrent les six samourais.

*mode L off*

mais peut-être que les deux cartes vont les sauver, qui sait?

ps: La je suis sur que j'ai complètement détruit le suspens de ta fic ^^ . comment non? je suis complètement à côté de la plaque? c'est injuste!

moi aussi j'avais pensé au grand maître des 6s. bon chapitre et le G.M (alias le grand maître des six samourais) est un enfoiré, la menace qui tue, vous pouvez vous recruter si vous voulez, mais vous êtes obligé de bien vouloir . moi je dis que ca va se compliquer pour nos deux héros, puisque si le peuple se rallie au GM, (ce qu'il fera je pense puisqu'il ne veux pas mourir) antoine et alexia seront leurs ennemis, je parie que c'est un piège du GM pour qu'antoine et alexia ne puissent continuer à être hébergé, et come ils n'ont pas leur cartes ils se feront décimer s'ils rencontrent les six samourais.

Le G.M. et ses "associés" ne connaissent pas encore l'existence d'Antoine et Alexia et ne savent pas qu'ils viennent d'une autre époque etc ... donc pourquoi voudrait-il leur mettre des batons dans les roues ?

on sait jamais il peut y avoir des espions infiltré, des membres du FBI Gm(fausse-bonne idée que j'ai eu la) enfin ca aurait pu être un piège de les attirer dans ce monde pour se débarasser d'eux, GM pourrait être une personne de l'année 2008 et 1300 en même temps, je sais pas moi tout est possible...

Oh les méchants Samouraïs, ils ont volez le flacon et ils recrutent.....
Vivement que quelqu'un les battent et vite fait bien fait.