[Concours] Une pendule sonne...

Salut !

Je viens pour ma deuxième fic, ma fic de concours.

Elle raconte l'histoire d'un petit village allemand cible de meurtres. Le village s'appelle Pendel, pendule en allemand, d'où le titre de la fic.

Je mettrais en scène trois points de vues :

-Le fils du meurtrier
-Le policier chargé de l'enquête
-Un lycéen

C'est donc une fic du genre Thriller. Je décrirais donc des choses assez sombres et une histoire assez compliquée.

Certains passages, notamment la fin, pourront être choquants pour les plus jeunes, ça ne s'adresse pas spécialement à tous les publics, mais je vous encourage à lire

Bonne lecture !

Chapitre 1 : Journée

Janvier. 6 h 00 du matin


Une chaise de bureau. Face au bureau. Une lampe allumée. La chaise est en cuir noir, le bureau en bois. En bois marron. Sur ce bureau s’entassent des livres. Des livres, et des boîtes. Des dictionnaires d’allemand, d’anglais, de français et d’italien. Derrière la chaise se trouve un lit, pas fait. La couverture est à demi par terre, à-demi sur le lit. Les oreillers sont… Devant la porte. Le traversin est le seul élément de la pièce à être à la bonne place. C’est triste à dire, mais c’est ma chambre.

Je suis Klaus. Klaus Stratzt. J’ai dix-neuf ans, je suis allemand. Je suis blond, j’ai les yeux noirs. Je sais, ça ne va pas ensemble, mais on ne va pas à l’encontre de l’hérédité. Car mon père et ma mère sont eux aussi comme ça. J’habite dans le village allemand de Pendel, dans le Land du Baden-Würtemberg. Il y faisait bon vivre. Oui, je dis faisait, car depuis peu, en fait depuis que nous sommes arrivés, des meurtres ont lieu. Ce qui nous vaut l’hostilité des autres villageois. Ils n’ont pas tort. C’est notre père, Leon Stratzt, l’auteur de ces meurtres. Et moi et ma sœur, on brûle d’envie de le tuer.

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Six heures. Un « bip » abominable me réveille. J’ouvre mes yeux, je me lève, je me dirige vers la salle de bain. Je me regarde. Les yeux gonflés par le manque de sommeil, la barbe pas rasée. Mes cheveux bruns en broussaille. Je me rase, je prends une douche. Je descends, je mange. Je m’habille. Et je pleure. En pensant à tous mes amis morts ces deux derniers mois. Tout ça à cause de ces maudits Stratzt !

Je suis Jens Lehstamm. J’ai trente-trois ans, je suis sergent de police à Pendel. Et je suis en colère. Je suis en deuil. Je ferai tout pour arrêter ces meurtres. Ces crimes abominables ne sont que la faute des Stratzt, j’en suis sûr. Cela ne peut être une coïncidence ! Je monte dans ma voiture, et je fonce au commissariat, enquêter sans relâche.

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Une longue cage d’escalier. Six étages à descendre. Cela va être long, je le sens. Surtout que… J’ai mal aux jambes. J’ai seize ans, je suis au lycée à Pendel. Je suis dans la même classe que Helena Stratzt. Mais je ne lui parle pas. Comme tout le monde. Car c’est une Stratzt. Une de ces enflures de Stratzt, ceux qui ont tué le prof de français. Le prof de français, tout le monde l’aimait. Tout le lycée hait Helena. Même les profs, c’est dire. Je descends dans la rue. Je prends le bus. Je traîne un peu dans mes pensées pendant le route. À cause de cela, je faillis louper mon arrêt, mais je me jetait dehors comme un fou furieux, sous les regards bizarres des autres lycéens.

Aujourd’hui, j’ai français. On a enfin notre nouvelle prof. Elle s’appelle Madame SinClair. Elle est française, et elle est vieille. Elle doit avoir dans la soixantaine. Soudain, elle prit la parole pour nous dire de ne pas nous asseoir :
« -Je vais vous placer moi-même »
Comment ? Un prof de lycée qui place ses élèves. C’est à ça qu’on reconnaît les profs sympas des profs… Comme celle-là.

Voilà. La prof nous a placés. Et avec ma chance habituelle, moi, Hasan Besser, je me suis retrouvé à côté d’Helena Stratzt.

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J’ai pris mon petit déjeuner à la hâte. Je pars ensuite pour le boulot. Je travaille à Freiburg, à vingt kilomètres. Je ne peux pas travailler à Pendel. Décision des commerçants et des patrons de cette ville. Je ne leur en veut pas. Avant de partir, une voix caverneuse m’interpelle :
« -Où tu vas comme ça, Klaus ? Tu ne vas pas me dénoncer, j’espère ? »
C’était mon père.
« -Non, papa, ne t’inquiète pas. Je vais juste travailler.
-ça me rassure. Tu sais très bien ce que je te ferais si tu me dénonces. »
Je frissonnais. Oui, je savais ce que cette brute pouvait me faire. Je pouvais parfaitement imaginer les milles et unes tortures qu’il pouvait m’infliger avant de mourir en prison. Je claquais la porte et m’empressais de me rendre à ma voiture. Une fois à l’abri dans l’habitacle, je respirais à fond, et mis le contact.

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Lorsque j’arrivai au commissariat, c’était l’effervescence. Comme tout les jours. Je saluait l’hôtesse d’accueil. J’arrivai ensuite à mon bureau. Je contemplait quelques secondes la plaque à mon nom, puis entrait. Que n’eus-je pas la surprise, en entrant, de voir le commissaire assit sur le fauteuil en face de mon bureau.
« -Que faites-vous là, monsieur ?
-Je te saluait. »
Je le regardais longuement. Le commissaire Persike était un homme massif. Ses yeux étaient d’un bleu profond et ses cheveux d’un blond foncé aux reflets châtains. Il avait toujours une barbe à peine rasée, et l’on distinguait des ses poils de barbe, quelques poils blancs, signe de sa défaillance physique, les ravages de l’âge.
« -Non, plus sérieusement, je te souhaiterais te confier les rênes de l’enquête sur les 4 meurtres de ces 3 derniers mois.
-Merci, monsieur, c’est trop d’honneur, je… »
Il me coupa.
« -Jens, Jens… Nous nous connaissons depuis que tu as 20 ans. Je sais que tu es le seul de l’équipe capable de mener à bien cette enquête.. »
Il quitta mon bureau. Je demeurais là. Pantois, bouche bée. Le commissaire Persike, l’homme le plus respecté de la ville, venait de me donner sa pleine confiance. Vite, il fallait que j’aille voir mes coéquipiers.

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« -T’as ton livre ? »
Ce fut la seule parole que je fus contraint d’adresser à Helena durant ce cours. Lorsque, enfin, la sonnerie retentit, elle se dépêcha de ranger ses affaires, et courut quelque part. Elle faisait toujours ça. Personne ne savait où elle allait. Et personne ne voulait le savoir.
« -Alors, l’amour vient ? »
Je me retournai. C’était Dieter, mon meilleur ami. À ses côtés, Tobias, un autre de mes amis. Ils avaient tout les deux ce sourire qui vous fait penser à une moquerie qui va venir. Et elle vint.
« -Waaah, comment que tu lui as parlé sensuellement ! dit Tobias
-T’as ton livre ? rétorqua Dieter, en prenant la voix la plus sexy possible.
-Fermez-la… C’est le seul truc que je lui ai dit, j’avais pas le choix, on est au fond, y a personne derrière, et devant c’est vous, et vous aviez qu’un livre, que Natascha vous a prêté, répondis-je.
-N’empêche que c’était bien sensuel, mec…
-Ouais, ça sent l’amour… »
Ils continuèrent comme ça pendant toute la journée. Rassurez-vous, mes potes ne sont pas aussi lourd qu’ils n’y paraissent. Juste un petit peu. Mais je sentais que ces cours de français allaient changer ma vision des choses, et me feraient changer de camp. J’espérais que non.

Vous avez aimé ?

Bientôt le chapitre 2 !

[ Dernière modification par Gadgetoftronik le 22 nov 2011 à 19h26 ]

Pas mal ^^ j'aime bien. On a bien envie de lire la suite .

Le 21/11/2011, YagamiSora avait écrit ...

Pas mal ^^ j'aime bien. On a bien envie de lire la suite .

Merci, ami de concours !

Ne t'inquiète pas, la suite est en construction.

Le chapitre 2 est là ! Il est un peu moins long que le premier (enfin, je crois...) Mais on y découvre des choses ^^

Enjoy !

Journée 2

Mon miroir était moche. Où plutôt, ce qu’il reflétait était moche. Moi. Après avoir mal dormi. Mes yeux noirs étaient cernés jusqu’aux joues, mes cheveux étaient décoiffés, décoiffés comme il peuvent l’être après avoir versé du gel dessus, puis de l’eau, ébouriffé le tout, et laissé sécher. C’est-à-dire, impossible à coiffer. Heureusement qu’on était samedi. Soudain, une sonnerie. Helena déboula dans ma chambre, avec le téléphone à la main.
« -Pour toi ! dit-elle »
Elle n’avait pas besoin de le dire, j’avais deviné. J’introduisis la locution téléphonique avec le classique :
« -Allo…
-Klaus ? C’est M. Bierff à l’appareil »
M. Bierff, mon supérieur au commissariat de Freiburg.
« -Je vous écoute monsieur.
-Le commissaire a décidé de te faire travailler sur l’affaire de Pendel. Tu habites là, il a pensé que ce serait une bonne idée.
-Mais monsieur…
-Pas de mais, Klaus ! De toute façon, il est trop tard, le commissaire a déjà téléphoné au responsable de l’enquête, M. Lehstamm.
-Très bien, monsieur. »
Je raccrochai, et tombai à terre. Il va falloir que je travaille avec Lehstamm. Il me déteste. Je vais devoir travailler sur une enquête où mon père est coupable. Que faire ?

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« -MWAHAHAHAHAAHA ! »
Ce rire démoniaque sortit des profondeurs de mes rêves de samedi matin me tira de mon sommeil réparateur de la semaine. Je me levai, et courut vers la chambre de mon frère. Je le trouva en train de jouer à la DS. Je lui hurla dessus :
« -Pourquoi tu gueules à cette heure-là ?
-Mais il est treize heures…
-Rien à faire ! Ediz, pourquoi tu fais autant de bruit ?
-Je viens d’invoquer Trishula ! répondit-il avec un regard plein de fierté.
-Rien à battre ! C’est pas parce que tu invoques « Trishula » que tu dois prévenir tout l’immeuble ! »
Je claquait sa porte, puis me recouchait. Mon petit frère était fan d’un jeu appelé Yu-Gi-Oh… et ça me tapait sur les nerfs. Pas moyen de dormir. Soudain, le téléphone sonna. Décidément ! Je me levais et décrochait :
« -Allo ?
-Hasan ?
-Oui ?
-C’est Helena…
-Salut, Helena, comment as-tu eu mon numéro ?
-L’annuaire…
-Ah ! et pourquoi m’appelles-tu ?
-Je voudrais savoir si tu pouvais m’aider à faire mes devoirs de français, en fait, je n’y comprend rien du tout…
-Pas… Pas de problème…
-Très bien. ,Je viens chez toi dans une heure ?
-Ok »
Je raccrochait le combiné. Que venait-il de se passer ? Je venait de parler avec Helena Stratzt… Et j’allais l’aider à faire son français… Bizarre. Je pris une douche, mon petit-déj’, et j’attendis.

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J’étais assis. Un sourire machiavélique aux lèvres. Ainsi, j’allais faire équipe avec Stratzt Junior… En ce moment, je cherchais un moyen de le faire craquer psychologiquement.

J’ai trouvé. Je me levais, et appelais chez les Stratzt. Je m’étais longuement entretenu avec lui. Il a évidemment accepté que l’on se voie. Le plan était en marche. Il ne me restait plus qu’à le convoquer, qu’on puisse parler. Je lui ferais avouer ses crimes. Je riais intérieurement, rien qu’à l’idée de le voir derrière les barreaux.

Je me rasais. Je me douchais. Je prenais un rapide petit déjeuner. Et je partis vers ma porte, pour ma promenade du samedi matin. J'aurais tout le temps de réfléchir.

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« -Mais que faites-vous, Monsieur ?»
Je suis… Leon Stratzt. Je suis chez une dame. Rencontrée au supermarché. Elle m’avait bousculé. Sans s’excuser. Alors, je l’ai suivie, et tuée. ça… ça m’a fait du bien. Je suis, une ombre. La police ne me verra jamais sous mon vrai jour. J’ai une trop bonne couverture. Mes enfants. Tant qu’ils existeront, je ne serais pas démasqué, et mes actes de survie mentale subsisteront.
 

Mouais..... Tu as une bonne imagination, mais tu fais pas mal d'erreurs de formulation, qui gâchent tout......
Au départ, je pensait que ça se déroulerait durant la 2nde guerre mondiale, mais..... pas du tout ! ^^
Ton second chapitre me semble moins bien que le premier, notamment à cause de quelques bizarreries....
Sinon, c'est très bien, j'attends la suite, et comme tes chapitres sont plutôt courts, je n'ai pas été découragé, pour une fois.... (parce que c'est voir un gros paté de 100 lignes qui ne me donne pas envie de lire les Fics)
Bonne continuation.

Le 02/12/2011, Wiraqocharascal avait écrit ...

Mouais..... Tu as une bonne imagination, mais tu fais pas mal d'erreurs de formulation, qui gâchent tout......
Au départ, je pensait que ça se déroulerait durant la 2nde guerre mondiale, mais..... pas du tout ! ^^
Ton second chapitre me semble moins bien que le premier, notamment à cause de quelques bizarreries....
Sinon, c'est très bien, j'attends la suite, et comme tes chapitres sont plutôt courts, je n'ai pas été découragé, pour une fois.... (parce que c'est voir un gros paté de 100 lignes qui ne me donne pas envie de lire les Fics)
Bonne continuation.

Tu peux donner des exemples s'il te plaît ?

Sinon, merci Wira' ^^

Mon miroir était moche. Où plutôt, ce qu’il reflétait était moche. Moi. Après avoir mal dormi. Mes yeux noirs

Utilisation abusive des points.

Une chaise de bureau. Face au bureau. Une lampe allumée. La chaise est en cuir noir, le bureau en bois. En bois marron.

De même, mais surtout, "en bois marron" ne rend pas très bien.

la barbe pas rasée

Un peu trop familier à mon goût.

Et je suis en colère. Je suis en deuil

Hum.... En colère ou en deuil ?? Parce que ça ne va pas trop ensemble.....

Surtout que… J’ai mal aux jambes

Pas toujours de majuscule après 3 petits points.

Je raccrochait le combiné. Que venait-il de se passer ? Je venait de parler avec Helena Stratzt… Et j’allais l’aider à faire son français… Bizarre. Je pris une douche, mon petit-déj’, et j’attendis.

Heu... Il est censé être maître de ses actes et paroles.... Il ne devrait rien avoir de bizarre ici ^^



Aussi, il est très peu probable (à part dans Death Note...) qu'un membre de la famille d'un suspect, qui est policier, soit amené à enquêter sur ce même suspect....
De plus, des lois existent pour la protection des potentielles victimes d'un criminel, "Stratz junior" peut donc très bien balancer son père.....
Mais bon, on ne sait jamais, il a peut-être un moyen de faire chanter son fils....

En espérant t'avoir éclairé

Le 02/12/2011, Wiraqocharascal avait écrit ...

Mon miroir était moche. Où plutôt, ce qu’il reflétait était moche. Moi. Après avoir mal dormi. Mes yeux noirs

Utilisation abusive des points.

==========> En effet...

Une chaise de bureau. Face au bureau. Une lampe allumée. La chaise est en cuir noir, le bureau en bois. En bois marron.

De même, mais surtout, "en bois marron" ne rend pas très bien.

==========> En bois tout court ?

la barbe pas rasée

Un peu trop familier à mon goût.

=====> ça, c'est mpn style, j'y peut rien, désolé...

Et je suis en colère. Je suis en deuil

Hum.... En colère ou en deuil ?? Parce que ça ne va pas trop ensemble.....

========> Il est en colère parce que des gens sont morts, donc en deuil pour les familles des victimes, pour moi ça va ensemble...

Surtout que… J’ai mal aux jambes

Pas toujours de majuscule après 3 petits points.

===========> Là, c'est une erreur de ma part, merci à toi.

Je raccrochait le combiné. Que venait-il de se passer ? Je venait de parler avec Helena Stratzt… Et j’allais l’aider à faire son français… Bizarre. Je pris une douche, mon petit-déj’, et j’attendis.

Heu... Il est censé être maître de ses actes et paroles.... Il ne devrait rien avoir de bizarre ici ^^

============> Il vient d'accepter d'aider une fille à laquelle il n'a jamais parlé à faire son français. À sa place je me poserais des questions...



Aussi, il est très peu probable (à part dans Death Note...) qu'un membre de la famille d'un suspect, qui est policier, soit amené à enquêter sur ce même suspect....

==========> C'est une histoire, comme Death Note...
De plus, des lois existent pour la protection des potentielles victimes d'un criminel, "Stratz junior" peut donc très bien balancer son père.....

===========> C'est une histoire...
Mais bon, on ne sait jamais, il a peut-être un moyen de faire chanter son fils....

=========> Aha ! ^^

En espérant t'avoir éclairé

Merci Wira' !

putain elle est tro bon ta fic tu pourais me donner le liens de ta premeire fic?

merci d'avance

Le 02/01/2012, staifox avait écrit ...

putain elle est tro bon ta fic tu pourais me donner le liens de ta premeire fic?

merci d'avance

Les Phénixians, que j'ai arrêté ? Si tu veux. Elle doit être en page 2 , ou alors va sur mon profil ^^

un thriller, j'en ai pas lu depuis longtemps ca va être interressant

et quand tu fais ><><><><><><><><><>< c'est que tu changes de point de vue ou c'est autre chose
sinon c'est bien. je dis suite

PS tu pourras aller voir ma fic stp c'est les ailes de la car (le D est pas passé dans le titre)

Le 17/03/2012, xav100 avait écrit ...

un thriller, j'en ai pas lu depuis longtemps ca va être interressant

et quand tu fais ><><><><><><><><><>< c'est que tu changes de point de vue ou c'est autre chose
sinon c'est bien. je dis suite

PS tu pourras aller voir ma fic stp c'est les ailes de la car (le D est pas passé dans le titre)

Merci.

Malheureusement, pour avoir une suite, il va falloir attendre, je n'ai pas le temps actuellement.

j'espère que tu le trouvera vite le temps

[ Dernière modification par xav100 le 18 mar 2012 à 15h04 ]