[Concour] Les chroniques de Mal Rorck

Les chroniques de Mal Rorck


Chap 1 : La vie au Cerisier.


La vie en campagne n'était jamais simple. Monotone, répétitive et morne. En particulier lorsqu'il pleuvait, alors là, on avait le droit de rêver si l'on souhaité voir quelqu'un traîner dehors. Bourg St André était l'un de ces petits villages. "Pas si petit que ça !" s'enorgueillait les plus vieux et les plus sénils. "Territorialement on depasse même Bourg St Martin !"

Bourg St Martin était un village a septs kilomètres a l'est de Bourg St André. Pour le rejoindre, il suffisait de suivre la route national 126. Pas trés grand, St Martin avait tout de même des boutiques diverses ainsi que deux supermarché et trois pharmacie. Un système de bus permettait de s'y rendre, faire ses courses et revenir ensuite. Ceci était bien pratique étant donné que soixantes dix pourcents de la population de St André était composé de personnes du troisième âge. Certain étaient même tellement vieux qu'ils auraient pu fair partis, du quatrième! En somme, St André n'était pas vraiment un lieu idéal pour y voir de nouvelle têtes car tout le monde ou presque se connaissait. Les plus jeunes étaient considérés comme des vandales, car traînant le soir, et ces même jeunes se moquaient des plus vieux car bien trop étroit d'ésprit a leur goût sur leurs choix vestimentaires et musicaux.

Au numéro trois, des huits résidences du cerisier, Lucas Verdier était un de ces "pauvres jeunes" coincé entre les griffes de ce qu'il avait l'habitude d'appeler : "la cambrousse".

Du haut de ses seizes ans, Lucas était de taille moyenne, avec des yeux bleus brillants et pétillants de malice. Ses cheveux mi-long étaient bruns foncés et se mariaient parfaitement a son teint légèrement bronzé, son visage et ses lèvres fines ainsi que son nez droit. Même si certain de ses amis s'amusaient a prétendre que Lucas avait hérité du physique avantageu de sa grand mère maternel du temps de sa jeunesse, ce dernier préférait ne pas faire attention a ce genre de compliments qui vous faisez rapidement tomber vers un sentiment proche de l'orgueuil mal placé. Lucas était d'un naturel calme, ne cherchant d'ennuis a personne et rêvant d'une vie un peu plus exitante. Cette chance lui serait donnés dés qu'il aurait réussi a passer son permis d'ici deux ans.

Il était précisément six heures du matin lorsque le reveil du téléphone portable de Lucas sonnat. Un son strident de reveil classique s'éleva dans sa chambre. Ce bruit soudain tira le jeune homme de son sommeil. A tâton, il chercha la cause de ce rafût matinal sur sa table de nuit et malheureusement pour lui, il n'y trouvat pas son téléphone. En poussant quelques jurons, Lucas se leva et se dirigea vers son armoire. Ou pouvait bien être ce fichu téléphone ? Pas dans l'armoire, pas sur le bureau ni la table de nuit... Il alluma la lumière et commença a regarder dans les recoins de sa chambre. Le son était si fort qu'il se répercutait sur les murs et donnai l'impression au jeune homme que l'appareil mobil était partout. Lucas maugréat interieurement contre cet engin de malheur.

-Mais où es tu enfin ? finit il par lacher avec colère.

Soudain l'illumination lui vînt. Lucas se baissa et regarda sous son lit. IL était là, le nargant presque de sa sonnerie stridente a vous rendre sourd. Le jeune homme mit la main dessus et le stop aussitôt. En se relevant, Lucas poussa un soupir de soulagement et regarda son lit encore chaud avec envie mais se résolut malgrés a rester debout car, comme beaucoup, il avait tendance a se recoucher aprés avoir éteint son réveil. Aprés un dernier soupir de déséspoire, Lucas se décida finalement a ouvrir sa fenêtre ainsi que ses volets le temps de prendre son petit dejeuner pour aérer la pièce. Cela suffirait amplement a son goût car sa chambre n'était ni trop spacieuse, ni pas assez, juste a son goût. Les murs étaient jonchés de poster et d'images imprimaient au lycée en douce sur l'animation japonaise, qu'il affectionnait beaucoup, les jeux vidéos et de son équipe de football favorite. Son lit deux place prenait le tier de la pièce auquel il avait ajouté un meuble simple pour sa télévision sur lequel reposait en plus sa console de jeu passé de mode depuis bien longtemps. Il possédait également une petite bibliothèque ou il rangeait ses romans et ses mangas. Enfin un bureau spécialement conçut pour les ordinateur, sans la dite machine au grand damn de Lucas, jonchait de feuille de cours d'Histoire, de mathématiques et de temps a autre quelques dessins fait pendant les heures les moins passionnante de sa vie lycéenne.

Lucas sortit de la pièce en fermant mollement la porte et descendit les escaliers en bois qui donnaient sur le salon. Sans vraiment faire attention aux personnes présentes, Lucas continuat sa route pour finir aux toilettes. Quelques instants plus tard, alors qu'il se lavait les mains dans la cuisine, Lidia Verdier y pénétra.

-C'est dans la salle de bain qu'il faut te laver les main jeune homme, le réprimanda sa mère.

-Oui 'man, répliqua Lucas avec lassitude.

Tandis qu'il se séchait les mains, le jeune homme regardait sa mère d'un air absent. Elle était plus petite que lui, les cheveux aussi noirs qu'un corbeau, la peau blanche avec les mêmes yeux que Lucas. Il avait hérité de sa mère son visage ainsi que sa petite corpulence.

-Tu as encore laisseé ta chambre allumé, on voit bien que ce n'est pas toi qui...

-Et voilà, pensa Lucas avec lassitude, elle râle encore...

Sans vraiment écouter, il se servit un bol de lait chaud dans lequel il plongeat un petit pain.

-..Et ne mange pas debout ! Tu vas encore en mettre partout !

Sans rien dire, Lucas s'assit docilement. Sa mère était souvent de mauvaise humeur le matin, c'était comme ça il n'y pouvait rien. Quasiment a chaque fois il subissait ses foudres matinals sans rien dire, mais cela n'avait pas grande importance au final car Lidia savait comment réctifier le tir. Lorsque Lucas reviendra aux alentours de dix huits heures, elle lui aura préparé un bon goûté bien savoureu et pas trop lourd en prévision du dîner. Une fois son petit déjeuner avalé, Lucas remonta a l'étage pour faire sa toilette. Tandis que la baignoire se remplissait d'eau, il sortit jean, tee shirt, chaussetes et sous vêtements pour s'habiller. Avec un leger frisson le jeune homme entra a l'interieur du bain chaud. N'ayant plus beaucoup de temps il fit un effort, surhumain dans son cas, pour ne pas tarder dans cette eau si savoureusement chaude et se depêcha de se laver. Une fois ses dents bien propre, il entreprit de s'habiller le plus vite possible, récupera pull et écharpe, son manteau et son sac de cour puis fila mettre ses chaussures. Aprés un très rapide "A ce soir" a sa mère, Lucas allait sortir mais fit volte-face.

-Mon portable ! lachat il a sa mère.

Une minutes plus tard il était dans le froid hivernal et fermait la porte sur un "Tu oublieras ta tête un jour". Aussitôt dehors, Lucas sentit le froid lui piquer la peau du visage. Emmitoufflé dans son écharpe, ce dernier se proteger autant qu'il le pouvait de ce froid mordant en gravissant une petite monté qui donnait sur la route nationale 126. Les maisons du ceriser se ressemblaient toutes, tant dans leur formes que leurs couleurs. Toutes disposaient de deux portes fenêtres qui donnaient sur le jardin avec deux fenêtres qui étaient celles des chambres. Les murs exterieurs au crépis couleur jaune semblaient inégales par endroit. Alexandre Verdier, le père de Lucas, s'en était plein a plusieurs reprises. Au niveau de la porte d'entrée, on pouvait voir l'une des fenêtres au rez de chaussé donnant sur la cuisine a gauche. Sur la droite un garage collé a la maison avait été agencé avec une grande porte en tolle blanche. Puis au premier étage il y avait les fenêtres de la salle de bain et d'une autre chambre, celle des parents de Lucas.

Dans ce paysage couvert de givre, Lucas trouvait vraiment ce village attristant. Arrivé aux abords de la route, Lucas la longeat sur sa droite. A sept heure du matin, la 126 était déjas fréquenté par une foule de véhicules allant de moto jusqu'aux poids lourds en passant par les automobile bien sûr. En se dirigeant vers son arrêt de bus, Lucas passa devant la seule boulangerie du village. Malgrés les portes en verres fermés, le jeune homme capta l'odeur du pain fraichement préparé. Résistant a la tentation de s'y arrêter, il s'avança dans le froid et pu enfin apercevoir. L'arrêt de bus était trés simple en étant composé de parois en verre sur lesquelle on pouvait lire les horaires de passage des transports. Lucas eut a peine le temps de saluer les personnes déjas présente que le bus arrivait déjas. Long d'environ une dizaine de mètres et jaune, il était plutôt "propre" d'aspect général.

Aprés un "bonjour" plutôt endormis de la part des nouveaux entrant, Lucas eut un énième soupir de lassitude, son arrêt étant le dernier avant d'arriver a son lycée, le bus était généralement plein au moment ou il y entrait. Il trouva une place au milieu du bus mais manque de chance il du reveiller un garçon endormit.

-Excuse moi, je peux m'assoir a côté de toi si il te plait ?

Chaque matin, a chaque fois qu'il posait cette question, Lucas se trouvait bien idiot car aprés tout le bus n'appartenait pas aux passagers et si seulement certain d'entre eux ne s'étalaient pas comme des hypopotames, il n'aurait pas a poser cette question chaque matin. Sans répondre, l'endormit se plaça correctement du côté fenêtre. Le voyage dura environ vingts minutes. Le paysage défilait tandis que le Lucas se surpris a rêvasser sur la multitude de champs gelés qui longeaient la 126.

Enfin son lycée était en vue. Lucas était impatient d'y être -ce qui était rare- car aujourd'hui sa classe debutait avec un cour de sport. La discipline étudiait était l'une de ses favorites qui plus est, l'éscalade. Le bus se rangeat sur le parking résèrvé et une fois a l'arrêt nombre des élèves se leverent pour sortir lorsque les portes s'ouvrirent. Alors que Lucas allait sortir par les portes avants, il entendits une drôle de voix, a la fois douce et mélodieuse...

-Tu es sûre que c'est une bonne idée?

Lucas s'arrêta aussitôt, si bien que l'élève derrière lui faillit lui rentrer lui rentrer dedant. Il tourna la tête afin de voir derrière lui a qui pouvait bien appartenir cette voix.

-Hé tu avance ou tu veux que je te pousse ?

Voila fin du premier chapitre ^^

[ Dernière modification par Nek-31 le 26 nov 2011 à 01h51 ]

Chap 2 : Justin Marvin


C'était l'hipopotame de tout a l'heure qui manifestait son impatience.

-Oui...Oui... bien sûr désolé, répondit Lucas sans grande conviction, tandis qu'il descendait du bus a son tour.

Lucas traversa le parking et se dirigeat vers le portail de fer afin d'enter a l'interieur du lycée Michel-Alain. Il continua a marcher sans vraiment savoir ou il allait, la voix mysterieuse occupant toujours son ésprit. Devenait il fou ? Lucas n'en avait pourtant pas l'impression, mais il avait trés clairement entendu cette mysterieuse voix.Aussi douce qu'une brise de printemps effleurant le visage et aussi agréable a l'écoute que la plus belle des musiques.

-Pas de doute, je suis fou lacha le garçon pour lui même.

-On le savait déjas ça, ajouta quelqu'un derrière Lucas en faisant sursauter ce dernier avat de se retourner.

-Justin ! Evite de me faire une nouvelle entrée aussi... surprenante la prochaine fois d'accord ? Sinon tu auras ma mort sur ta conscience.

Justin eut un petit ricanement moqueur.

-Désolé, mais c'est toi qui n'était pas alerte sur le coup!

-Mouai...

Justin Marvin était le meilleur ami de Lucas. Plus petit que lui avec des cheveux blond coupé court et un visage carré dont il affichait touours un air enjoué. Cequi amenaient certain a douté sur sa maturité. Tous deux partageaint plusieurs passions communes dont celle des mangas. C'est cette passion qui les avait rapproché l'un de l'autre l'an dernier lorsque Lucas s'était assis aux côtés de Justin avec un livre a la main.

Lucas poussat un baillement et s'essuya les yeux ou quelques larmes avaient perlés.

-Prêt pour le cour d'escalade ! s'exclama Lucas d'un air enjoué.

Justin afficha une mine déconfite. Ce dernier souffrait d'un vertige chronique transmit de génération en génération, de père en fils.

-Pas vraiment, tu sais trés bien que je deteste quitter la terre a plus de quarantes centimètres du sol, et arrête de te moquer de moi ! ajouta Justin en
voyant Lucas afficher un sourire enjoué.

La mysterieuse voix lui était compètement sortit de l'ésprit. Tous deux discuterent encore jusqu'a ce que la cloche annonçant le début des cours retentissent.

-Aller champion, en route, dit Lucas plus motivé que jamais, sous les ueux exaspéré de Justin.

Ils traverserent un petit chemin goudronné défoncé par endroit, autour deux l'herbe était gelé et l'on pouvait voir des flaques également gelés un peu partout dans le parc. Le vent était toujours présent, aussi glacé qu'a St André. Devant eux se dressait le gymnase du lycée Michel-Alain, pas franchement flambant neuf. On pouvait voir d'un côté les fenêtres sâles protégé par un grillage rouillé a moitié coupé. Les murs étaient gris par endroit et a d'autres il pouvaient être jaune ou bien rouge selon la couleur choisit pour taguer.

-Ce batiment me démotive, soupira Justin, morne tandis que Lucas trouvait sa remarque plutôt comique.

-Même si il était équipé de l'ai conditionné tu aurais toujours quelque chose a...

-Cours ! Vite, cours Shun !

A nouveau la voix s'était fait entendre. Lucas s'arrêta tremblant, c'etai la deuxième fois aujourd'hui qu'il percevait cette voix. Sauf qu'apparement elle était apeuré et alarmé cette fois-ci... Qui qu'elle soit, cela ne se présentait pas bien pour elle. Enfin si tant est qu'elle fut réelle cette fameuse voix ! Il se pouvait aussi que Lucas devienne fou, c'était même trés plaisible.

-Lucas ? ça va vieux ? Tu es tout pâle...

La voix inquiète de Justin sortit le garçon de sa rêverie. Il afficha un air rassurant et continua d'avancer.

-Oui, ne t'inquiète pas, j'ai juste un peu trop mangé ce matin, résultat : j'ai un peu mal a l'estomac, prétendit ce dernier.

Justin paru se détendre quelque peu.

-Je me demande comment tu fais pour manger autant le matin et avoir une ligne pareil, ronchona quelque peu son ami.

-Arrête on dirait une fille qui parle, dit Lucas, espiègle comme souvent avec Justin.

C'est sur le ton de la plaisanterie , que tous deux entrerent a l'interieur du gymnase, qui était a l'image de l'exterieur, c'est a dire pas neuf non plus. Immediatement a gauche on pouvait voir des toilettes a l'aspect douteu, le lavabo était d'un blanc terne et Lucas savait, pour avoir essayer, que l'eau avait un goût trés bizarre. En face des toilettes se trouvait l'armoir ou était conservé les chaussures d'escalade classé par pointure. Lucas se saisit d'une paire de quarantes trois et Justin quarantes et un. Les mur étaient beiges avec des traces noires ici et là et le chauffage ne fonctionnait plus depuis bien longtemps déjas. En face de l'entrée se trouvait les vestiaires des professeurs avec a l'interieur, un peu plus loin, une porte donnant sur sur celui des filles.

Les deux élèves bifurquèrent a gauche un peu avant la partie résèrvé aux enseignants afin de se rendre dans leurs vetiaires. Les murs étaient également beiges et une ouverture immediatement a gauche donnait sur les douches. La pièce ou les élèves se changeaient étaient munit d'un banc la longeant sur trois murs. Sans trop parler, Lucas et Justin commencerent a se changer, en partit a cause de Lucas qui ne savait plus trop ou il en était, et avait l'impression de devenir fou. Peut être que comme l'avait dit Justin il mangeait un peu trop. Non c'était stupide car jamais une madeleine par ci ou un bonbon par là n'avait fait de mal a quelqu'unau point de lui faire entendre des voix.

Peu à peu, d'autres élèves entrèrent, si bien que le vestiair fut animé par les conversation de tous. Mme Vandra arriva alors pour faire l'appel. C'était une femme blonde d'âge mûr au teint bronzé toujours trés souriante et donnant envie même au plus réticent de faire du sport, sauf peut être Justin avec l'escalade. Lucas était ailleurs, car ce fut son ami qui répondit a sa place lorsque Mme Vandra cita son nom.

-Que t'arrive t'il Lucas ? s'inquiétat ce dernier.

-Rien, rien rassure toi, répondit vaguement le concerné, ce qui ne convaint qu'a moitié Justin.

Essayant de reprendre concistance afin de monter corrêctement le mur d'escalade, Lucas prit une grande inspiration et se força a chasser la voix de son ésprit. La troupe de garçons rejoignit les filles sur le terrain dans la salle principale. Le sol y était vert avec des lignes et des limitations de toutes les couleurs de differents sports comme le badminton, le hand ball ou le volley ball. Le mur a droite en entrant était couvert de prises tandis qu'au fond a gauche des tapis déstinés a diverse sport comme la gymnastique étaient rangés. En face de l'entrée, un filet protégeai le mur et ses fenêtres tandis qu'un peu plus a gauche de l'entrée, une table avait été installé pour que le professeur puisse prendre des notes correctement.

-Bien, dans un premier je veux que tous le monde face cinqs tours de la salle, ensuite vous vous étirez. Quand vous aurez finit, repartissez vous par équipe de deux, un qui grimpe et l'autre qui assure. Vous faites les noeuds et je passe verifiersi tout est bon, dit d'une voix forte Mme Vandra.

Quinzes minutes plus tard, les élèves formerent les paires, Lucas et Justin se mirent tout naturellement ensemble comme d'habitude. Lucas avait choisit de grimper en premier. Tous deux allerent chercher la corde afin de se hisser a l'aide au plus haut point du mur. Ils se munirent du reste de l'équipement de sécurité comme les mousquetons ainsi que les harnais. Pour ne rien changer, Justin se mit a marmonner dans sa barbe a propos des harnais qui donnaient l'air de porter des sous vêtements féminins, Lucas ne pu s'empêcher de rire a ces remarques.

Une fois que Mme Vandra eu verifié leur noeud et qu'elle eu placé Justin dans la position adéquat pour assurer la sécurité de Lucas en cas de chute, ce dernier put enfin monter. Il se débrouillait comme personne dans sa classe, prise aprés prise, il évoluait avec autant de dextérité qu'un chimpanzé, Justin lui donnant a chaque fois la bonne dose de cordepour qu'il ne soit pas gêné. Lucas arriva facilement tout en haut et bien avant tout le monde. Il toucha le plafond ,avec un sourire victorieu, fait de dalles en bois recouvertes dde tissu et dont certain en perdaient quelques morceaux.

C'est alors que tout basculat. Lucas se sentit a la fois partir en arrière et en même temps, il avait l'impression d'être aspiré, comme si il était séparé de son corps.Tout était confus autour de lui, il fermat ses yeux et encore une fois la voix douce et mysterieuse se fit entendre, elle était une fois de plus paniqué et pleine d'émotion.

-Ils sont encore derrière nous !

Elle parlait d'une façon plutôt saccadé, comme-ci elle courait en même temps. Lucas se décidat a rouvrir les yeux, trouvant bizarre de n'avoir ressentit aucun choc. A sa grande surprise, il ne se trouvait plus dans le gymnase en train de chuter du mur d'éscalade ou d'être retenu par Justin. Lucas était même trés loin du lycée Michel-Alain.

Ceci clot mon second chapitre
Bonne chance a tous le monde pour le concour ^^