[Fic YGO] Letphaos le Gardien Divin

Forum > Coin Créativité > FanWorks & Graphisme
Total : 61 Messages. Page n°3/5 - < 1 2 3 4 5 >
Utilisateur(s) présent(s) sur ce sujet :
  • et 0 invités

Avatar de

Hors Ligne

Banni depuis le // sera débanni le //

Grade : []

Echanges 75 % (4)

Inscrit le //
Messages/ Contributions/ Pts

Envoyé par le Jeudi 09 Octobre 2008 à 21:13



Chapitres 23 : Duel des Ombres (3ieme partie)

E : Il s’agit de « Moissonneur d’Esprit » (300/200 Ce monstre ne peut être détruit en combat, le calcul de dommage s’applique normalement. Quand cette carte est ciblée par un effet de carte, cette carte est immédiatement détruite. Quand cette carte attaque directement les Lp de votre adversaire, 1 carte est défausse de sa main au hasard.). Cela signifie qu’il n’est pas détruit.

L : Je termine mon tour dis-je d’un aire dépité. (2cartes en main, 3cartes face down + « Olympie la Citée Divine »+ « Arc de la Grande Chasse)
E : Je pioche et… Voici la carte qui vas sceller ton destin et par la même occasion ton âme. J’active « Trou noir », tous les monstres du terrain sont détruits. Te souviens-tu ? Dit-il des cartes Exodia que j’ai envoyé au cimetière. Je vais activer « Usine de Production de Masse » pour les récupérée toutes les deux.
L : Je révèle ma carte face cachée « Apparition Divine » (magie rapide, pendant un tour faite l’invocation spéciale d’un monstre Mythique de votre cimetière. A la end phase du tour il est détruit). Je l’utilise pour rappeler « Déméter, Déesse de la Fertilité Terrestre ».
Cela ne va te servir à rien et maintenant, voici Exodia le Maudit dit il en plaçant les cartes sur le dueldisk, d’abord la jambe droite, puis le bras droit, la tête, le bras gauche et pour finir la jambe gauche. Le dueldisk semble souffrir du placement de ses cartes, il est parcourut, d’éclairs bleutés, comme si le système était au bord de la surcharge.

Soudain, entre Exion et moi commença à se former une sorte de trou noir, l’espace autours de lui était perturbé, on dirait que notre dimension essaye de lutter contre l’abomination qui voulait y pénétrer. Le combat était perdu d’avance, déjà le symbole vert commence à ce dessiner. Puis un bruit de déchirure se produit, c’est la première fois que je l’entends, mais pour temps je sais de quoi il s’agit, le voile de la réalité viens de ce déchirer. Quelques secondes passent avant qu’un bruit de chaine qui cède se fasse entendre, une main agrippe le contour du trou noir, puis une seconde, à ce moment une tête sort du trou, une tête couverte d’une coiffe semblable à celle d’un pharaon de l’ancienne Egypte. On y est, la créature qui n’était plus venue depuis des millénaires sur terre était de retour. Grande d’une dizaine de mètre, les vestiges de chaine à ses poignes et chevilles, signe que la créature avait été enfermée hors de toute réalité, là où elle ne pouvait plus nuire.
Son regard ce pose alors sur moi, je peu voir dans ses yeux une éternité de mort, ainsi qu’une haine pour son exil forcé. Toute cette haine est maintenant portée sur moi, un frisson de terreur me parcourt l’échine. Non, il n’est pas un simple Hologramme de duel, au temps de puissance ne peut être que réelle.

Mais nous somme toujours en duel, et Exion me le rappelle très vite. Vas-y Exodia attaque « Annihilation ».
L : Je révèle ma carte face cachée, « Moisson Fertile » (Magie rapide. Ne peut être jouée que si Déméter, Déesse De la fertilité terrestre est sur le terrain. Choisissez et activez l’un des effets suivants :
- Diminuer les dégâts reçus de moitié pour ce tour.
- Augmenter vos Life points d’un montant égal au total des points d’attaque des monstres présents sur le terrain adverse).
Et j’active son effet numéro deux.

L’attaque d’Exodia percute mon monstre le réduisant en poussière, tout mon corps me fait souffrir, mais je suis toujours là.
Comment est-ce possible me demande-t-il. J’ai regagné donc la moitié de l’infini, et la moitié de l’infini reste l’infini.
[E : 4500 L : 7000]

Je n’ai aucune chance de le vaincre Exodia est trop fort, j’ai sauvé la situation pour un tour mais après… J’entends soudain une voix me dire de ne pas abandonner, que j’ai toutes les chances de vaincre. Je lui demande comment, la réponse que je reçois est que je le sais. Je réfléchis, mais rien son attaque est trop forte pour être contrée, mais oui c’est une attaque un monstre invincible en combat peut le bloquer, vus la quantité de carte qu’il a pioché, il n’est plus très loin du discard.

L : Ame des cartes, si tu existe réellement aide-moi pensais-je. Je joue, J’active la carte magique « Paris Avec Les Dieux » je vais piocher 4 cartes puis envoyer 2 monstres au cimetière si je ne le fais pas je dois te montrer ma main et perdre en prime 1000Lp par monstre que j’aurais du envoyer au cimetière. Je me défausse de « Eros, l’Amour » et de « Minotaure Le gardien Du Labyrinthe ».
Je termine mon tour en placent un monstre en défense. (3cartes en main, 1cartes face down)
E : Tu n’as pas abandonné ? Tu as donc pioché et joué « Cerbere, le Gardien Mythique » n’est-ce pas ? Désolé mais j’ai ce qu’il faut « Destruction de Bouclier » dit au revoir à ton monstre. Exodia attaque Annihilation.
L : Désolé mais je n’ai plus le choix, je dois le faire, je révèle ma dernière carte face cachée que j’ai posé au tout début du duel, « Gigantomachie » (carte magie rapide. Retirez du jeu « Eros, l’Amour », « Héméré la Lumière terrestre » et « Ether, la Lumière des astres » depuis votre terrain et/ou votre cimetière. Faite ensuite l’invocation spéciale de « Chaos, Déité primordial »). L’attaque d’Exodia se stop net.

L’espace réservé à l’extra deck s’ouvre, je sors la carte qui doit être celle de « Chaos, Déité primordial », je dis semble être car elle est entièrement noir, son contour est doré tout comme le cadre ou ce trouve le dessin du monstre normalement. Je la place alors sur le terrain, c’est au tour de mon dueldisk de frôler la surcharge, il est parcourut d’éclairs bleutés.
L’espace autour de nous deux se met alors à changer, plus rien comme décor n’est visible. Au lieu de ça, il n’y a plus qu’une sorte d’hémisphère de couleur changeante en permanence, à la fois toute les couleurs et aucune. Il fait à la fois claire comme en plein jour et sombre comme au milieu de la nuit la plus noire.
Comment voulez vous que je vous décrive une telle sensation ? Il fait à la fois froid comme au pôle et chaud comme à midi en plein désert. Tant de stimuli contradictoires sont sur le point de me faire devenir fou. Je me sens emporté loin d’ici, je dois vite lancer la contre attaque. Chaos (prononcé Kai-os) « Souffle du Changement » dis-je, mais je, en plus de ma voix, j’entends une autre, une voix plus grave, caverneuse, qui semble venir d’un autre âge. Je n’ai pas la tête à penser à ça pour l’instant.

Un rayon d’énergie de couleur changeante, toute et aucune à la fois fonçait vers Exodia qui avait repris son attaque. Je ne peux dire d’où vient l’attaque, elle semble venir de partout et de nulle part à la fois. Les deux attaques se percutent alors, l’énergie dégagée est colossale, l’espace tente de résister à tant de pression, la sphère d’énergie laisse s’échapper des éclairs multicolores. Aucun des deux être présents ne semble vouloir céder, soudain une gigantesque explosion se produit.
Mon corps est propulsé comme un fétu de paille dans les airs, je percute le sol face contre terre avant de rebondir, je retouche le sol sur le dos puis je rebondis à nouveau et là plus rien, je perds connaissance.

Je reprends conscience, j’ai juste un léger mal de crâne, j’aurais crus m’en sortir moins bien. Je regarde autours de moi, le ciel est figé et rouge, tout est en ruine, il ne reste que des statues d’humains, figées dans un rictus d’effroi. Mais ou suis-je tombé ? Une des statues me semble bien familière, mais qui peut être cette personne ? Je me souviens, celui par qui tout a commencé, l’homme qui m’a donné le jeu.
Des battements d’ailes se font entendre, que va-t-il encore se passer ?

N.B.: pour imaginer la carte de chaos prenez une carte gold rare et mettez tous ce qui n'es pas gold en noir.

[ Dernière modification par nazdreg le 09 oct 2008 à 21h13 ]


dark-cristal

Avatar de dark-cristal

Hors Ligne

Membre Inactif depuis le 04/07/2020

Grade : [Kuriboh]

Echanges 100 % (14)

Inscrit le 31/08/2008
1478 Messages/ 0 Contributions/ 0 Pts

Envoyé par dark-cristal le Vendredi 10 Octobre 2008 à 09:16


Pas mal mais lorsque un joueur détient les 5 cartes exodia il n'a pas besion de les jouées , il gagne automatiquement !

___________________


Manga-GX

Avatar de Manga-GX

Hors Ligne

Membre Inactif depuis le 18/10/2008

Grade : [Kuriboh]

Echanges (Aucun)

Inscrit le 12/03/2008
279 Messages/ 0 Contributions/ 4 Pts

Envoyé par Manga-GX le Vendredi 10 Octobre 2008 à 17:41


Continue !

___________________


Marci a : Dark-Cristal, Anthony 87480, Morg4n, Jaden 573236, Marie 12 et Sky Wars : vos encouragements me ferons continuer ma fic !

Avatar de

Hors Ligne

Banni depuis le // sera débanni le //

Grade : []

Echanges 75 % (4)

Inscrit le //
Messages/ Contributions/ Pts

Envoyé par le Samedi 11 Octobre 2008 à 20:37


Le 10/10/2008, dark-cristal avait écrit ...

Pas mal mais lorsque un joueur détient les 5 cartes exodia il n'a pas besion de les jouées , il gagne automatiquement !

Je sais bien, j'avais besoin d'un monstre bien bourrin pour introduire Chaos déitée primordiale.
J'ai alors repencer au duel Yugi/kaiba, je me suis alors dit que je tenais la le bon monstre pour mon adversaire. Bien qu'il ne s'agit pas des règle off pour exodia, je me suis octroyé une petite entorse au vrais règle.

La suite dès que je la récupère de chez mon correcteur.


dark-cristal

Avatar de dark-cristal

Hors Ligne

Membre Inactif depuis le 04/07/2020

Grade : [Kuriboh]

Echanges 100 % (14)

Inscrit le 31/08/2008
1478 Messages/ 0 Contributions/ 0 Pts

Envoyé par dark-cristal le Samedi 11 Octobre 2008 à 20:52


Ba c'est cool, je trouve que tu as eu raison; j'imagine bien le choc des titans entre les deux méga monstre !

___________________


Jaden573236

Avatar de Jaden573236

Hors Ligne

Membre Inactif depuis le 21/11/2008

Grade : [Kuriboh]

Echanges (Aucun)

Inscrit le 30/04/2008
1 Messages/ 0 Contributions/ 0 Pts

Envoyé par Jaden573236 le Samedi 11 Octobre 2008 à 22:16


très bonne fic,continue comme sa!Et n'oublie pas...LA SUITE!

___________________

Vive Manga-GX et sa fic


^^Bêtes cristalline et fière de l'être^^

anthony87480

Avatar de anthony87480

Hors Ligne

Membre Inactif depuis le 31/01/2013

Grade : [Kuriboh]

Echanges 100 % (1)

Inscrit le 09/05/2008
207 Messages/ 0 Contributions/ 0 Pts

Envoyé par anthony87480 le Mercredi 15 Octobre 2008 à 07:06


continue ta super fic.
Ps:je crois savoir ou est arrivé letphaos.Des statue représentant des homme ca rapelle rien a personne.Ce serait pas le batiment avec la grande salle ou les statue sont revenus a la vie.

___________________

Une fic initiatique vous séduirait ? Alors n'hésitez plus et découvrez le destin d'un jeune homme anthony et de son ami marc.Leurs vies paisibles sont à présent terminés.Découvre toi aussi en avant 1ère sur final yugi le parcours de ces 2 héros qui ne sont pas au bout de leurs surprises.
http://www.finalyugi.com/yugioh-forum-viewtopic-32-44252.html

sky-wars

Avatar de sky-wars

Hors Ligne

Membre Inactif depuis le 03/08/2011

Grade : [Kuriboh]

Echanges (Aucun)

Inscrit le 16/02/2007
52 Messages/ 0 Contributions/ 1 Pts

Envoyé par sky-wars le Mercredi 15 Octobre 2008 à 13:09


Je n'ai vu quue très peu de fautes, surement d'innatention, et dieu sais cela arrive à tout le monde

Pour ma part, je trouve cette histoire bien écrite quoi qu'un peu lente quelques fois.
On attend une suite, PLUS DE SUSPENSE, ON VEUT LE SUITE !!

=p

___________________


==> Clique, on ne sait jamais. (Saison 2 de ma fic')




Avatar de

Hors Ligne

Banni depuis le // sera débanni le //

Grade : []

Echanges 75 % (4)

Inscrit le //
Messages/ Contributions/ Pts

Envoyé par le Mardi 21 Octobre 2008 à 10:51


@anthony87480 Tu vas être fixé.
@sky-wars Mon correcteur a reçus le méssage

Chapitres 24 : Une partie du mystère dévoilée.

Les battements d’ailes se font de plus en plus proches, j’entends une voix familière me dire « assied-toi ». Je suis hésitant; comment être sur qu’il ne s’agit pas d’un piège ? Et puis après tout il faut savoir faire confiance à son instinct, je décide donc de m’assoir et advienne que pourra.
La voix me répond alors que j’ai fait le bon choix, les battements d’ailes sont maintenant très proches. La voix enchaîne en me disant qu’il est temps de me révéler qui elle est. Quel choc, je me félicite d’être assis, devant moi se trouve un être doté d’une paire d’ailes, portant une toge courte qui s’arrête à mi cuisse et de couleur blanche. Il me laisse alors quelques secondes pour me remettre. J’articule péniblement une phrase qui reflète ma pensée: « Tu es un Dieu ? Un Dieu Grec ? » Il me répond par l’affirmative. Il se présente alors à moi : « Je suis Hermès, le messager divin. Je ne sais pas exactement ce qui nous arrive. Tu es inconscient dans ce monde depuis environ 3 heures. J’ai eu le temps de faire le tour du monde, et je n’apporte aucune bonne nouvelle.
Tous les humains mortels sont pétrifiés. En ce qui concerne les autres Dieux, eh bien, comment dire… Ils sont introuvables. Le pire est l’état d’Olympie, elle est en ruine. Quand je l’ai quittée avant de te rejoindre tout était en parfait état. Il avait dit tout ça pratiquement d’une traite, à la fin de ça phrase il me demande ce qui m’arrive. Ma réponse met quelques secondes à se faire entendre, et elle est la suivante : « comment est-ce que ca peut aller ? On est probablement sur terre, je perds conscience la nuit, je me retrouve ici et plus rien n’est comme je l’ai laissé. J’apprends que je parle depuis tous ce temps avec un Dieu, qu’il y en a d’autre et que je suis peut être le dernier humain sur terre. Excuse-moi, mais ce n’est pas spécialement facile à digérer. »

J’ai droit comme réponse au traditionnel « ne t’inquiètes pas » mais la suite me réconforte plus. « Tu es bien le dernier humain mortel maintenant et ici mais rien n’est moins vrai. Avant de t’évanouir, tu as commis la pire des erreurs: tu as invoqué Chaos, et le pire de tout, dans un jeu des ombres. Il est possible que nous ne soyons plus à la même époque, c’est un peu compliqué mais je vais essayer de faire simple. Le futur n’est pas écrit à l’avance, chaque acte le modifie, il existe cependant des futurs que je qualifierais de génériques, il s’agit d’un nombre restreint de futurs, une dizaine tout au plus. « Je pensais que le futur n’était pas écrit » lui dis-je. Et tu as raison mais en partie, bien qu’il n’est pas écrit car vos actes l’influencent, un certain nombre de choix que vous posez ramène systématiquement à un nombre restreint de futurs. En te disant ceci, je vais plus loin que mes prérogatives, mais au vu des circonstances, je préfère te le dire. »

« J’aimerais que tu me dises, ce que tu sais sur la mythologie grecque » me dit-il. Je commence donc à répondre, si mes souvenir son exacts, au début il y avait Chaos, vis-à-vis de lui et de ses descendant, j’ai retenu un texte d’ Hésidiose « Donc, au commencement, fut Chaos, et puis la Terre au vaste sein, siège inébranlable de tous les immortels qui habitent les sommets du neigeux Olympe, et le Tartare sombre dans les profondeurs de la vaste terre, et puis Amour, le plus beau des immortels, qui baigne de sa langueur et les dieux et les hommes, dompte les cœurs et triomphe des plus sages vouloirs. De Chaos naquirent l'Érèbe et la sombre Nuit. De la Nuit, l'Éther et le Jour naquirent, fruits des amours avec l'Érèbe. À son tour, Gaïa engendra d'abord son égal en grandeur, le Ciel étoilé qui devait la couvrir de sa voûte étoilée et servir de demeure éternelle aux Dieux bienheureux. Puis elle engendra les hautes Montagnes, retraites des divines nymphes cachées dans leurs vallées heureuses. Sans l'aide d'Amour, elle produisit la Mer au sein stérile, aux flots furieux qui s'agitent.
- Mais encore ? » Me dit-il.

Gaïa donne naissance dans un premier temps (sans intervention mâle) à Ouranos (le Ciel étoilé), Pontos (le Flot marin) et à Ouréa (les Montagnes et les haut Monts). Unie à Ouranos, elle donne ensuite naissance aux Titans et Titanides (divinités de très grande taille), ainsi qu'aux Cyclopes (bâtisseurs de murs colossaux, n'ayant qu'un œil au milieu du front) et aux Hécatonchires (monstres possédant cinquante têtes et cent bras). Ouranos obligeait Gaïa à garder leurs enfants en son ventre, sinon il les jetait dans le Tartare.
Le dernier des Titans (Cronos), finit par émasculer son père à l'aide d'une faucille de silex que lui a fournie sa mère. Le sang d'Ouranos féconde alors Gaïa, laquelle enfante les Érinyes, les Géants et les Méliades sans oublier Aphrodite.
Fécondée ensuite par son fils Pontos, elle engendre les divinités marines primordiales : Nérée, puis Thaumas, Phorcys, Céto et Eurybie. Avec Tartare, elle donne naissance à Typhon.
- Pas mal pour un humain, je suis impressionné.
- Les Titans sortirent alors du ventre de Gaïa. Mais Cronos refusa de laisser en liberté ces créatures monstrueuses ainsi enfantées par Gaïa et Ouranos : les Cyclopes et les Hécatonchires. Il a même chargé de chaînes ses frères difformes et les a précipités dans les profondeurs de Tartare, le monde souterrain.
Cronos se proclama roi de ce monde dont il avait rétabli l'équilibre autrefois, un monde voulu par Gaïa la terre. Il se lia avec Rhéa, mais il n'avait pas oublié la malédiction d'Ouranos : il mangea chacun de ses enfants au fur et à mesure qu'ils naissaient. Hestia, Déméter et Héra, ses trois premières filles, puis Hadès et Poséidon furent ainsi avalées par Cronos. Mais lorsqu’arriva le sixième, Rhéa, sur le conseil de sa mère Gaïa, cacha l'enfant et le remplaça par une pierre que Cronos engloutit directement.

L'enfant qui a été ainsi épargné portait le nom de Zeus. Il grandit loin de ses parents, et une fois arrivé à maturité, il rencontra une des trois mille filles de l'Océan, Métis, déesse de la ruse. Zeus voulait aller libérer ses frères et sœurs, et Métis l'aida. Elle prépara un breuvage qu'elle confia à Rhéa dans le but de le faire boire à Cronos. Lorsque Cronos le porta à ses lèvres, il vomit tout ce qu'il avait ingurgité jusque là. Zeus, Déméter, Hestia, Héra, Poséidon et Hadès se réfugièrent sur les cimes de l'Olympe.

Alors débuta la titanomachie, guerre entre les Titans et les Olympiens. Après plusieurs confrontations, les Olympiens prirent conscience qu'ils étaient plus faibles que les Titans. Ils s'allièrent avec les Cyclopes et les Hécatonchires. Les Cyclopes leurs fournirent des armes : à Zeus, ils remirent le foudre, à Poséidon, un trident capable d'ébranler le sol et à Hadès un casque qui avait le pouvoir de rendre invisible celui qui le portait. Grâce à ces armes et à l'aide musclée des Hécatonchires (monstres à cent bras et cinquante têtes), les Olympiens remportèrent la victoire contre les Titans.

- Et en ce qui concerne Chaos, que peux-tu me dire de plus ? - Je suis bien obligé de te répondre que je n’en sais rien. » Il reprend alors la parole en me disant que c’est normal, que très peu de personnes même parmi les Dieux le savent. Je demande alors si lui le sait, il me répond que oui, mais que je n’ai pas besoin de le savoir pour le moment.

Je tente une question : « tout ça parce que j’ai joué une simple carte de duel de monstre ?
Oui et non » Telle est la réponse très claire fournie. « Oui c’est parce que tu la jouée et non car un ne s’agit pas d’une simple carte ; chacune contient, semble-t-il, une partie de la puissance endormie d’un Dieu et, en la jouant, tu la libères. Donc, tu viens de tirer Chaos de son sommeil, mais rien ne permet de dire qu’il a déjà récupéré assez de puissance pour faire ça.
- Je suppose que le « ça » est nous envoyer ici ? » Je n’ai pas le temps d’entendre la réponse, tout deviens flou et j’ai le sentiment étrange d’être écartelé, bien que je ne l’ai jamais vécu. Soudainement après un temps indéterminé je m’effondre inconscient.


Voila je vous propose un petit jeux, parmis les chapitre précédent, j'ai fais deux erreur de rulling +/- volontaire (exodia ne compte pas), celui qui trouve les deux auras en cadeau un MP contenant les 3première ligne du chapitre suivant.


sky-wars

Avatar de sky-wars

Hors Ligne

Membre Inactif depuis le 03/08/2011

Grade : [Kuriboh]

Echanges (Aucun)

Inscrit le 16/02/2007
52 Messages/ 0 Contributions/ 1 Pts

Envoyé par sky-wars le Mardi 21 Octobre 2008 à 16:23


Le 25/02/2008, Cooler105 avait écrit ...


Méchant ! T'as repris avant moi le deck Mythologie grecque...


Erreur, je ne sais pas si c'était intentionnel, mais ce deck est inspiré de MOI (voir mon ancienne fic'). Je me réserve le droit de l'utiliser comme bon me semble (sans copier tes effets), et vice-versa pour ta fic perso.

___________________


==> Clique, on ne sait jamais. (Saison 2 de ma fic')




Avatar de

Hors Ligne

Banni depuis le // sera débanni le //

Grade : []

Echanges 75 % (4)

Inscrit le //
Messages/ Contributions/ Pts

Envoyé par le Lundi 27 Octobre 2008 à 09:40


Chapitre 25 : Une bien étrange situation.

Je mets quelque minute pour me reconnecté à la réalité, on dirait que je me suis encore évanoui, ça devient une habitude. Je me rends compte finalement que tout l’avant de mon corps est humide. Je me rends alors compte que je suis couché dans l’herbe, j’imagine que si mon corps est humide c’est à cause de la rosée, enfin j’espère que ce n’est pas un autre liquide. Pendant ce temps, mes oreilles me revoient des chants d’oiseau et des rires de petit enfant, on dirait que j’ai rêvé, tous ca n’était qu’un mauvais rêve. « « Pourtant tout semblait si réel » me dis-je en me relevant. Je me retourne pour voire les ruines du château et là, c’est le choc. Je ne suis pas devant les ruines du château, mais devant LE château, comment est-ce que. Non c’est un cauchemar, je vais me réveiller.

« Alors la belle au bois-dormant, enfin réveillé ? » Hermès viens d’apparaitre près de moi, il semblerait que l’on soit dans une période que vous appelez Moyen-âge. Je lui réponds qu’après le futur, nous nous retrouvons au Moyen-âge. Qui peut bien être derrière tout ça ? J’avais formulé ma pensée à haute voix et la réponse, qui suit la même voix, est que selon moi, il n’y a qu’une seul créature mythique qui peut en être à l’origine, le titan Chronos. Hermès me dit qu’il est possible que j’aie raison, vus que je l’ai invoqué une fois, il doit être réveillé comme les autres, mais pourquoi t’aiderait il, car il t’a permis en te faisant voyager dans le temps d’éviter pas mal de casse. En effet tu n’as pas tort lui dis-je, si c’est bien lui il doit avoir une idée derrière la tête. J’imagine qu’il n’a pas intérêt à aider quelqu’un qui bosse pour Zeus de façon plus ou moins indirecte.
Quoi qu’il en soit, d’après ce que je sais de cette période, ils n’aiment pas trop les sorciers et assimilés ici, ton dueldisk risque d’être de trop ici me dit Hermès. Pas de souci à ce niveau est la réponse que je lui donne, en lui montrant mon avant bras gauche, poing tendu vers le ciel pour lui montrer l’absence de dueldisk. Le teint d’Hermès deviens soudain plus pâle, et pour le deck me demande-t-il ? Ne t’inquiète pas, il est dans ma poche droite.
Maintenant que dois-je faire ici ? Hermès me dit alors qu’il n’en sait rien, mais dans l’attente il vaut mieux la joué « caméléon » et se fondre dans la masse.

La rivière devrait normalement me permettre de trouver une ferme isolée où je pourrais me changer, mes vêtements des années 2000 ne m’aide pas à être discret. Cette idée ne me plait pas trop, mais ais-je d’autres options ? Je ne pense pas qu’ils prennent les Euros ni les cartes bancaires. Allez en route pour la rivière, du château il faut environ 30minutes de marche, si je ne me trompe pas. Je dois passer près d’une forêt, dire que il n’en reste presque plus rien à mon époque. Quoi qu’il en soie, je vais éviter la route, les plaines couverte d’herbe devraient me protéger des regards.
La forêt est en vue, je vais m’y arrêter quelques minutes, il est très épuisant de se promener de façon furtive pour moi. Je suis enfin sous le couvert des bois, je m’enfonce un peu plus loin pour ne pas être vu.
Soudain, un bruit de craquement de branche se fais entendre, je ne suis donc pas seul. Un homme sors de derrière un arbre, il s’adresse à moi en disant messire, que vos vêtement son beau, vous devez être un homme fort riche, il dit cela en se rapprochant de moi. Je sens mon rythme cardiaque s’accélérer au fur et à mesure qu’il se rapproche de moi, il ne m’inspire aucune confiance, ca main droite va vers sa ceinture.
Il en sort un éclair argenté, d’instinct je fais un bond en arrière, juste à temps pour éviter son poignard. A la suite de son arc de cercle de la gauche vers la droite avec son arme, il enchaine sur un coup de couteau de droite à gauche, encore une fois je réussis à esquiver. Il exécute directement après une estoc, tous ce passe alors pendant une seconde comme au ralentis, je fais comme j’ai vus faire des dizaines de fois dans les films, j’attrape le poignet droit armé avec ma main droite, ma main gauche attrape son bras droit et je porte un coup violent avec mon genoux droit au niveau de son coude. Cette manœuvre lui fait lâcher son arme. Je relâche l’étreinte de ma main gauche pour porter un coup de coude dans son visage, j’enchaîne ensuite un violent coup de genou dans son abdomen. Je lâche l’homme et me met a distance raisonnable, il me regarde quelque seconde avant de s’enfuir en courant sans demander son reste, le visage couvert du sang qui provient de son nez, il doit être cassé. Pendant sa fuite, il a perdu une bourse remplie de pièce.
Je suis à bout de souffle, presque en crise de nerf. Tout s’est passé si vite, je n’ai pas eu le temps de comprendre ce qui c’est passé. J’avais, pendant toute la rixe, eu l’impression de la regarder, comme si j’avais été hors de mon corps, quel étrange sensation.

Tu te sens mieux ? Me demande Hermès. Je lui réponds alors que je pense que oui, mais que j’avais eu durant la rixe l’impression d’être spectateur de mes propres gestes. Ha je vois, et bien comment dire… Je t’ai hum… Je t’ai comment dite vous encore, possédé, oui je pense qu’il s’agit du terme le plus adéquat. La seule chose que je réussis à répondre dans un premier temps est : hein, pardon ? Je pensais que nous avions le libre arbitre. Oui et non, je vais t’expliquer, je possède la capacité de prendre le contrôle d’un mortel pendant un laps de temps très courts, je n’aime pas avoir recours à cette capacité; pour des raisons d’éthique nous dirons. Je ne me sers de cette capacité que pour protéger un mortel dont j’ai la garde. Je te préviens, ne me refait plus ce coup la ou sinon… Il me répond qu’il ne le fera plus.

Dix minutes plus tard, nous reprenons la route de la rivière. La scène de la rixe se rejoue sans cesse dans ma tête, une question m’obsède depuis ce qu’il m’a dit sur le contrôle des corps, aurait il d’autres choses encore ?
Après quelques minutes, je me décide à lui poser la question, y a-t-il autres choses que tu ne ma pas dites ? Puisque nous en somme aux confidences, commence-t-il à me dire, oui il y a autre chose, ton amie mortelle a dit un jour que tu semblait plus sur de toi en duel, c’est le cas. Je t’ai donné, en tous les cas au début car maintenant tu n’en as plus besoin, une dose de détermination et de confiance en toi, tu n’aurais, sinon, pas su jouer avec ton jeu, et... Il laisse mourir ca phrase, regarde on dirait que nous venons de trouver la rivière.
Je sais bien qu’il tente de changer de sujet, il s’est probablement laissé emporté dans ses explications, en tous cas il n’a pas tort, nous somme arrivés à notre première destination.

La rivière fais environ cinq mètres de large, elle est d’un magnifique bleu, régulièrement le contour de poissons apparaissent. Quand je pense qu’au 21ième siècle elle est polluée, que c’est triste. Je suis soudain tiré de mes rêveries par Hermès qui me demande où nous allons, je lui réponde que je n’en sais rien, après quelques secondes de réflexion, je choisis de suivre le courant de la rivière.
Après quelque dizaine de minutes, nous arrivons en vue de champs de blé prés à être collecté. Un peu plus loin sur la barge, se trouve une petite ferme/moulin à eau construite en pierre. La double roue en bois reliée par des petits bacs, le courant de la rivière entraine la roue, qui d’après ce que je sais entraine toute une série de roue, pour finir par faire tourner une roue à moudre le grain. A l’extérieur du moulin, je vois un fil sur lequel sèche du linge, c’est parfait, tout ce dont j’ai besoin.
Je me dirige donc vers ce fil, je prends dessus une espèce de cape munie d’une capuche. Je ne sais pas trop la valeur de l’argent dans cette époque, mais je suppose qu’une pièce d’or devrait suffire, pour couvrir les frais du rachat. Je regagne donc vite fais le chemin en effilant la cape. Je marche en suivant le chemin sur un kilomètre environ, vers la ville. Hermès me demande alors pourquoi je retourne vers la ville, je trouve un petit chemin discret que j’emprunte.

Me voila dans un bosquet de quelque arbres à l’abri des regards, Je vais te le dire, tu vas trouver ca idiot mais bon… Depuis quelque temps, j’ai l’impression d’être dans un film, pour être exact, depuis que j’ai récupéré ce deck. Dans les films, il n’arrive jamais rien au personnage sans raison, il s’agit souvent d’apprendre quelque chose, pour ce faire, je pense qu’il serait plus logique de trouver ca au village .Tu as raison me dit-il je trouve ça idiot, mais bon je te suis et, de toute façon, je n’ai pas trop le choix.
Avant de repartir, je vais compter ce que nous avons comme argent, deux pièces d’or, douze d’argent et quarante-huit de bronze. Le brigand ne devait pas être à son coup d’essai. Je me remets en route vers le village après environ une heure de marche. Lorsque j’arrive en ville une maison est en feu, je me dirige vers elle voir si je peux aider. Mauvaise idée…


dark-cristal

Avatar de dark-cristal

Hors Ligne

Membre Inactif depuis le 04/07/2020

Grade : [Kuriboh]

Echanges 100 % (14)

Inscrit le 31/08/2008
1478 Messages/ 0 Contributions/ 0 Pts

Envoyé par dark-cristal le Lundi 27 Octobre 2008 à 10:43


Pas mal , je trouve que tu décris très bien ce qui se passe , la scène avec le brigan ou plutôt la baston était très bien décrite , on voie que tu t'y connais en baston lol bon sinon pour la maison en feu , comme tu as dis que c'est une mauvaise idée qu'il s'en soit approché , je pense que l'on va l'accuser d'avoir fait brûler cette maison , ou encore de sorcelerie ou quelquechose de ce genre .

___________________


Avatar de

Hors Ligne

Banni depuis le // sera débanni le //

Grade : []

Echanges 75 % (4)

Inscrit le //
Messages/ Contributions/ Pts

Envoyé par le Mardi 02 Décembre 2008 à 20:29


Merci, désolé du retard, j'attendasi dans les minutes qui suivent le retour de la suite, qui est devenus des jours puis semaines, mais la voila enfin.

Chapitre 26 : La situation dégénère.

La fumée vue plus tôt provient d’une maison en feu, ce qu’il en reste montre une maison assez petite, une enseigne brisée en deux ce trouve sur le sol non loin de là. D’après ce que je peux voir il s’agirait d’une boucherie qui est en train de brûler, plutôt amusant pour un lieu ou on cuit de la viande, mais enfin passons là-dessus.
La foule est massée sur la place, face à la boucherie, elle la regarde brûler, enfin pas tout à fait, entre la foule et la boucherie se trouve un groupe de trois cavaliers, montant des destriers couleur d’ébène, ces hommes enfin je suppose, en effet les seules choses visibles les concernant sont, pour chacun des trois, une cape. Les trois cavaliers sont en formation de triangle. Celui du centre que je présume être le chef prend la parole, il dit alors « personne ne peu enfreindre les lois en toute impunité, il aurait du réfléchir avant de commettre cet acte ignoble ». Une voie s’élève de la foule pour protester, mais enfin dit il, cette homme avait juste tué quelque animaux dans la forêt du roi, qui est son propre frère, pour nourrir le village et… Il ne peut finir sa phrase, toute la partie de son corps située au-dessus de la taille venait de disparaître, emportée par un rayon d’énergie bleu.

La créature qui a lancé l’attaque ressemble à un guerrier aux cheveux noirs, équipé d’une épée longue dont la lame dessine un bien étrange motif en dent de scie, il est équipé d’une armure d’un noir intense à bordure bleu. La créature était apparue dans une nappe brouillard mauve apparue quand le cavalier de tête avait levé sa main paume vers l’homme qui se plaignait, une main recouverte d’une armure noire à lisière bleu. Je reste figé, les poings serré, j’ai envie d’exploser, de les attaquer mais un homme attrape mon épaule gauche et me dit que je dois attendre et espérer leur faire payer plus tard.

Bien, d’autre opposition à notre bon roi ? L’homme à la droite du cavalier de tête venait de prendre la parole, après quelque seconde il s’adresse au cavalier de tête, il semble que ce soit bon maintenant. Les cavaliers éperonnent soudain leurs montures et prennent la direction du château situé un peu plus haut sur la colline. Les régents, me dit l’homme qui m’avait retenu, la tête encapuchonnée. Comment est-ce possible, je ne l’ai pas entendu, la question me brûle les lèvres mais avant que je la pose il avait disparut. Où l’homme était, il ne reste plus qu’un marceau de papier. « Rendez-vous au Cyclope bavard dans une heure, demandez un Civet de lapin ». J’entends l’horloge sonner dix-sept heures.
Que dois-je faire à ton avis ? Bien-sur tu ne vas pas me répondre Hermès. En effet, cette décision est la tienne, tu sais bien que se serait aller à l’encontre de ton libre arbitre. De toute façon, enchaîne-t-il, je ne sais pas quelle est la bonne décision. Si je veux rester fidèle à mon idée, je dois le faire pour avancer, d’un autre côté nous ne somme pas dans un film… Avec toutes mes hésitations, je me rends compte qu’il ne me reste plus beaucoup de temps, je trouve enfin l’auberge en question. Je m’installe et commande un civet de lapin pile au moment ou l’église commence à sonner dix-huit heures. L’auberge contient une petite terrasse de 3 tables, j’ai pris place à l’une d’elle, l’intérieur semble contenir 3 grandes tables, chacune pouvant facilement recevoir douze Hommes. Une douzaine de minutes plus tard, on m’amène mon plat, je prends alors ma serviette d’où glisse une lettre, « Dans une heure, dirige-toi vers la berge de la rivière pour trouver les réponses à tes questions. Tu auras, quand l’église sonnera dix neuf heures, dix minutes pour te rendre là-bas, si tu rates le rendez-vous on n’en restera là, une seul et unique chance ». Dix minutes, j’avais beau réfléchir, retourner le problème dans tout les sens, cela allait être du sport, mais je ne sais pourquoi je sentais que je devais le faire. Dix neuf heures sonne déjà, j’hésite encore.

Avant que je ne me rende compte, je suis déjà entrain de courir vers la berge. Après quelques minutes de marche, j’aperçois une femme face à un homme, celui-ci lui tient le bras gauche, la femme se débat et crie à l’aide. Que dois-je faire ? L’aider et perdre du temps, plus probablement rater le rendez-vous ou continuer. La jeune femme a de longs cheveux blonds et porte une robe de couleur rose, elle mesure environ un mètre soixante et est de corpulence assez mince. L’homme qui lui fait face n’est pas très impressionnant. A peine plus grand qu’elle, il arbore une grosse barbe brune avec des cheveux courts.
Tant pis, je vais l’aider. Qui sait ce qu’il peut lui faire sinon. Je m’élance donc vers l’homme qui me tourne le dos, je lui attrape l’épaule droite et entraine une rotation de son torse, je profite de l’élément de surprise pour le décocher un coup de poing dans l’estomac. Il s’enfuit sans demander son reste, je me retourne vers la femme en prenant de ses nouvelles, j’ai juste le temps de la voir lancer une poudre à ma figure que je m’écroule au sol, enfin je pense car la poudre jetée à ma figure est mon dernier souvenir.

Ma tête, j’ai du passer sous un camion, que s’est il passé ? Tu as été emmené par des hommes après ton évanouissement, tu es resté dans cet état quatre jours et une bonne douzaine d’heure, Hermès semblait inquiet en disant cela. Mais pourquoi m’ont-ils fait ça ? Je ne comprends pas, enfin bon je vais déjà me mettre debout, j’aurais plus facile pour trouver un plan. Je me lève donc mais hélas pour moi je n’avais pas prévu la suite. En effet mes jambes était toujours endormies, résultat des courses mon corps viens percuter le sol dans un bruit assourdissant. Le faite que j’aie entraîné dans ma chute une table, où se trouvais une cruche et une tasse en métal n’y est pas étranger.
J’entends alors une voie féminine dire « il est réveillé » tout en rigolant, et elle continue en disant « il n’a pas l’air impressionnant ». Après quoi j’entends des bruits de pas qui s’éloignent de la pièce, mais étrangement je n’entends pas la porte se refermer, me serais-je trompé sur ma captivité ?

Après quelque minutes, je réussi enfin à me relever, je peux mieux détailler la pièce, il s’agit d’une chambre. Elle ce compose d’un lit d’une personne et d’une petite table avec une chaise. Ma pièce n’est pas très grande, quatre mètres carrés, les murs sont peint en blanc et à la tête du lit se trouve une fenêtre. Sur le mur opposé se trouve la porte, si on peut la nommer ainsi. En effet, elle se constitue d’un cadre en bois remplit par du tissu blanc avec un motif stylisé que je ne connais pas.
Je décide de sortir de la chambre. Il y a au moins un point positif, il semblerait que je ne sois pas captif. Je me retrouve dans le fond d’un couloir éclairé par des bougies, la chambre semble bien être la dernière pièce de la demeure. Devant moi se trouve une autre porte identique à la mienne, je décide de l’ouvrir et à ma grande surprise c’est impossible. J’ai beau chercher il n’y a pas de système de fermeture. Je décide finalement de continuer mon chemin, je remonte donc le couloir. Pendant tout ce temps, des bruits de discussion s’amplifient. Je trouve deux autres portes quelque mètre après les deux premières et elles aussi sont fermées. Je continue donc la route, j’ai fais quelque pas quand je vois soudain apparaître une lumière plus forte à l’autre bout du couloir, les bruits viennent de là. J’avance avec appréhension, si jamais je me suis trompé et que je suis captif comment mes geôliers vont-ils réagir ?
J’arrive alors dans une pièce éclairée par un lustre garnie d’une multitude de bougie, deux grandes tables sont présentes dans la pièce ainsi qu’un grand four. Six personnes sont en train de manger, trois hommes et trois femmes qui ne font pas du tout attention à moi. Quatre autre sont debout, deux femmes et deux hommes équipé d’arc long placé en bandoulière et de deux épée courte placées de part et d’autre de leur taille.

Une des deux femmes me fait signe de la suivre avec sa tête, ce que je fais immédiatement, de tout façon je n’ai pas trop le choix. Elle ouvre une porte qui donne sur l’extérieur et l’emprunte, ce que je fais à sa suite. Soudain les bruits d’une cascade m’interpellent, je suis suivi de près par les deux hommes armés. Je ne suis peut être pas captif, mais je ne suis pas non plus un invité, idée confortée par les deux gardes à l’extérieur du bâtiment qui me prennent immédiatement en joug avec leur armes.
La femme leur fait un signe délicat de la main, ils abaissent alors leurs armes. Je profite de l’occasion pour mieux regarder mon « escorte ». Ils portent tous des vêtements moulant noir, la femme, elle, a des décorations dorées sur les épaules, un signe distinctif probablement. Elle se tourne alors vers moi, je suis dessuinte interloquer, la femme en détresse et l’homme à ma droite est l’agresseur.
Nous y sommes me dit elle, derrière ce virage tu trouveras l’homme que tu cherches. Je la remercie et continue donc sur le chemin. Un homme assis en tailleur me tourne le dos, j’avance encore de quelque pas et il se relève. L’homme porte une cape noire avec un masque blanc strié de noir.
Bienvenu me dit l’homme, approche toi. Ce que je fais, mais je reste sur mes gardes.


Avatar de

Hors Ligne

Banni depuis le // sera débanni le //

Grade : []

Echanges 75 % (4)

Inscrit le //
Messages/ Contributions/ Pts

Envoyé par le Samedi 24 Janvier 2009 à 21:10


Non la fic n'est pas morte, la preuve. Toujours des retards de correction.

Chapitre 27 : Une clarification pas si claire.

Détends-toi me dit l’homme, tu n’as que des amis ici. Il faut dire qu’il me serait difficile de nier mon inquiétude, poing serré et mon avance à pas compté. Je lui réponds alors, comment pourrais-je être détendu ? Vous m’emmener dans un lieu que je ne connais pas après m’avoir drogué, ainsi que les hommes en armes qui m’ont tenu en joug, et vous voulez que je sois d’étendu ?
Tu sembles oublier, commence l’homme, que tu es volontaire, tu as choisi de suivre les instructions sur les différents billets. Je ne les ai pas toute suivies, dis-je en resserrant ma garde. En effet, si tu l’avais fais tu ne serais pas là.
Je ne serais pas là ?
Oui, le dernier billet était un test et tu la réussi, si non… Je ne lui laisse pas le temps de répondre, je le coupe en lui demandant quoi. C’est très simple me dit il, tu ne serais pas ici si non, si tu avais continué on ne se serait pas revus car il y aurait eu énormément de chance que tu sois un agent du régent.
J’entends bien, mais j’aurais une question à formuler, c’est quoi ce bazar et où somme nous?

Bon pour commencer, je vais quand même me présenter, tu peux me nommer Henri. Nous somme à quelque kilomètre de Herst, je lui coupe alors la parole et lui dit qu’il se moque de moi, il n’y a pas de chute d’eau dans un rayon aussi proche. Il continue et me dit que pourtant c’était bien le cas. En ce qui concerne le « Bazard » comme tu dis je ne vois pas de quoi tu parles.
Je me rappelle soudain qu’il ne sait pas pour moi, je décide donc de lui mentir, je lui dis que je ne viens pas d’ici, que je suis arrivé dernièrement ici. Il semble convaincus et commence ses explications que j’écoute avec attention. Notre roi est décédé sans laisser d’héritier pour lui succéder, une nuit d’orage il y a maintenant trois ans, cinq hommes sont apparus. L’un d’entre eux se proclama régent de royaume, les quatre autres sont ses lieutenants. Depuis cette triste date, rien ne vas plus la population est opprimée, nous sommes obligés de nous plier à toutes leur exigence et si quelqu'un tente de leur tenir tête… Tu as vus ce que ces chiens leur font.
J’étais interloqué, de un par le faite qu’une phrase résumait trois ans de vie, de deux je connais cette histoire, sauf que personne n’a occupé le trône et que tout le royaume a été démantelé. Comment est ce possible ? Je pensais être dans le passé mais il n’est pas identique à ce que je sais.
Nous sommes en quelque sorte les résistants, il ne nous est pas facile de vivre, le terme correct serais même survivre, mais nous somme la dernière parcelle de liberté dans le royaume, la lueur à la quelle les villageois se raccrocher.
Et vous avez besoin d’homme, vous avez donc pensé à me recruter c’est bien cela ?
Pas exactement, je ne vais pas te mentir, tu as un certain potentiel et je suis prêt à te permettre de le développer mais tu devras obéir sans discussion. Je réponds que j’aimerais bien savoir de quel potentiel il parle, mais soudain il se fait moins loquasse et prend congé de moi, en partant il me demande de faire mon choix pour demain matin. Ha oui une dernière chose dit il, tu n’en sauras pas plus, inutile de questionner les autres.

L’heure du souper a sonné, je rentre dans la maison avec les autres personnes présente ici. Manifestement nous somme trop nombreux pour le nombre de chambre il faudra que je me renseigne, mais ce n’est pas urgent. Le repas est constitué de pomme de terre et de poulet rôtis, un repas simple mais délicieux. L’inconnue qui a participé à la mise en scène de la rixe et qui m’avait drogué, vient s’asseoir devant moi en entamant la conversation. Je suis désolée dit elle, mais tu comprends c’était le seul moyen, je me nomme Cassandre. Elle commence alors à manger. Après le repas elle me dit que si j’ai des questions elle y répondrait avec plaisir. Je profite donc de la perche tendue en commençant par des questions banales, j’apprends alors que seuls Henri et moi-même dormirons ici, les autres dormant dehors dans divers endroits. J’essaie d’en savoir plus sur mon potentiel qu’Henri a évoqué, mais elle refuse de me dire quoique ce soit à ce sujet, tant pis j’aurais au moins essayé.

La soirée est bien avancée quand je décide de rejoindre ma chambre, je me déshabille et cherche un pyjama, impossible d’en trouver. Je plonge sous les draps après quelques minutes de recherche infructueuse. Moi qui d’habitude trouve le sommeil dès que je me couche, rien de moins normal quand on trouve que dormir est une perte de temps incroyable.
Hermès tu es là ? Oui me répond l’intéressé, j’aurais une question à te poser, pourquoi devons nous dormir ? A ça me dit il, je ne saurais pas te le dire, il faudrait le demander au patron, il est le seul à pouvoir dire pourquoi il a instauré ça. Le problème est qu’il est encore sous forme de pierre a cette époque enchaîne-t-il et les voies du patron son impénétrables. Hum je vois… bon je retiens ma question pour plus tard, peut être pourras-tu la lui poser, bonne nuit Hermès.
Je me tourne et me retourne sans cesse dans mon lit, un temps qui me semble infini s’écoule avant que je ne m’endorme enfin.

Des cris, j’entends soudain des cris, pas un mais des centaines voir des milliers de cris. J’ouvre les yeux pour me trouver devant un spectacle effrayant, le sol est entièrement noir, seul un chemin sinueux le serpente, d’une couleur bleu nuit, comme une sorte de rivière. Jusque là rien d’effrayant, sauf que de la rivière, sort par moment des membres écorché. Sur la berge ce trouve une fille à l’allure spectrale. Cette fille arrive près de la berge, là se trouve un homme, enfin il me semble. Il est vêtu d’une cape noire il parle avec les créatures spectrales à qui il donne des place dans sa barque. Soudain je me sens emporté par un courant d’air, je survole la rivière et pendant ce temps je réfléchis à cet inconnu, il me fait pensé à quelqu'un mais à qui… Mais oui, Charon le passeur, le monstre de mon jeu, que fait-il dans mon rêve ?
Mon trajet continue, je traverse divers paysages cauchemardesques, jusqu’à ce que j’arrive devant un château de couleur noir. Il me semble encore plus sombre que le noir du sol, comme si cette couleur pouvait être plus noir que le noir. Je rentre dans le château par une fenêtre, je me trouve dans une sorte de salle du trône. Au centre de la pièce éclairée par des flammes bleue trouve un trône d’un doré sombre, il accueil une personne revêtue d’une toge gris foncé, son visage est dissimulé derrière un casque en forme de crâne humain léché de flamme. Une épée à la lame d’un noir intense à garde en or noirâtre est adossée contre le trône pointe contre le sol.
Devant lui se tiennent trois créature dont la taille est d’environ deux mètres, chacune d’entre elles porte une armure complète une par couleur primaire, le rouge, le bleu et le jaune ; chacune est terne et couverte au niveau du plastron et du casque de visage grimaçant.
J’écoute votre rapport, l’homme qui porte l’armure jaune s’avance et prend la parole. Comme vous m’avez ordonné maître je me suis rendu à la surface, j’ai observé les mortels. Bien que leur civilisation ait changé ils n’ont pas beaucoup changé mentalement. Les mortels sont toujours aussi arrogants et prompts à s’emporter, il se remet alors dans le rang et celui à l’armure bleue s’avance.
Maître, les mortels n’ont plus les mêmes croyances qu’avant, les choses du passé ne leur sont que très peu connues, leur mémoire collective a été altérée par les siècles. Nous devrions pouvoir en tirer partie. Il retourne à sont tour dans le rang, l’être vêtu de l’armure rouge s’avance.
Maître, les mortels on changé leur style de combat, ils ont abandonné l’épée et le bouclier au profit d’espèce d’armes lançant des projectiles qu’ils nomment mitrailleuse. Dans toute leur nouvelles armes une devraient vous intéressée, il la nomme bombe atomique, à ce que j’ai découvert cette arme peut tuer des milliers de mortels en quelques secondes, plus encore avec le temps qui passe. Il se remet aussi dans le rang, et attend.

Vous avez bien travaillé, comme toujours vous me faites honneur, tout ceci présage d’agréables choses. La pérennité de notre emploi est assurée, l’homme fait une pose avant de continuer. Un intrus est ici, je ressens une sensation de poussée, je suis éjecté de la pièce et effectue le trajet en sens inverse dos vers le sol.
Je me réveille en sueur le soleil est levé, quelle drôle de rêve mais était-ce bien un rêve ? Je dois donner ma décision à Henri.


Avatar de

Hors Ligne

Banni depuis le // sera débanni le //

Grade : []

Echanges 75 % (4)

Inscrit le //
Messages/ Contributions/ Pts

Envoyé par le Mercredi 17 Mars 2010 à 08:05


Chapitre 28 : Décision et conséquence.

Je me lève et je vais me laver, ensuite je mange. Pendant tout ce temps je ne fais que penser à mon « rêve » ainsi que à ma décision. Cassandre viens me trouvée, elle semble calme et sereine, cela fais plaisir de voir quelqu’un avec un visage amicale en ce lieu, les autres quant à eux me regarde avec suspicion, je sens bien qu’ils ne me considèrent pas comme étant à ma place. Viens avec moi me dit elle Henri attend ta décision.

Je retrouve Henri au même endroit que hier, il est encore une fois dans la position du lotus. Je te sens plus serein que hier, mais ta décision semble encore te préoccuper me dit il en sans changé de position. Il est temps pour toi de faire ton choix, je t’écoute vas-y.
Je prends une profonde inspiration mon cœur bat à tout rompre, je ressens jusque dans la moindre de mes cellules l’effet de l’adrénaline qui ce déverse dans mon corps, que dois-je faire ? Je repense à ma discussion avec Hermès, je me revois lui parler de ma théorie, si on est ici c’est pour que j’apprenne quelque chose, pour que je progresse, lui avais-je dit. J’ai maintenant l’impression que la lumière s’allume dans les ténèbres de mes doutes. J’accepte de suivre votre enseignement, je me sens de suite plus apaisé, je pense non je suis sûr que ma décision est la bonne. Bien me dit il on commence de suite, en route suie moi.

Nous prenons la direction de la cabane Henri y entre en me disant de l’attendre ici, quelque minutes plus tard il réapparait avec un homme que je connais bien, il s’agit de « l’agresseur ». Allons-y-on à un bout de chemin à parcourir.
Le chemin est paisible, il serpente dans la forêt vers une destination qui m’est inconnus, je m’en fiche après tout il fait beau, les oiseaux chantent et le soleil caresse ma peau au travers des feuillages. Après un petit moment, nous arrivons à un chemin plus accidenté, la forêt commence à être remplacée par des cailloux, nous somme entrain de quitter la forêt pour entré dans une zone montagneuse. Comment est-ce possible, il n’y a aucune montage près de ma ville, il s’agit là d’un nouveau mystère. Au détour d’un gros roché, j’aperçois une arche de pierre qui s’emble d’origine humaine, nous y somme dit alors Henri. Le visage de « l’agresseur » se retrouve alors gratifié d’un sourire, il s’agit là de la première expression que je peu observer sur son visage depuis le début.

Tu vas parcourir le chemin jusqu'à son autre extrémité me dit Henri, facile tu n’as pas plus difficile ? Ho j’ai oublié un détaille, met toi à croupi, parfait maintenant garde cette position pour parcourir le chemin en saute grenouille, si tu venais à t’arrêter Jean te donnera un petit coup de bâton et tu recommence tout à zéro. Ha oui dernière chose me dit il en commençant à marcher sur le chemin, il fait 1000mètres.
Qu Quoi ? Je dois faire au temps de distance dans cette position, tu te moque de moi ? Pas du tout commence immédiatement si tu veux avoir une chance d’y arriver aujourd’hui.
Bon, je n’ais pas le choix si je comprends bien. En effet dépêche toi j’en ai déjà marre de te voire me répond Jean. Je décide d’en rester là pour le moment, je me mets en position et je commence à parcourir le chemin. A 50mètres, j’attrape une crampe et me relève, le coup de bâton arrive immédiatement, je me remets en postions pour continuer mon chemin, soudain une douleur au niveau de mes tallons ce manifeste et mon regard vois le ciel, je viens de me faire balayer par le bâton de Jean. Sava j’ai compris, je recommence à zéro, suffisais de le demander gentiment.

Le soleil est maintenant bien descendus, il doit rester tout au plus 2 heures de luminosité. Henri apparais et demande à Jean ma meilleur progression, il lui répond 80mètres environs. Henri ce tourne vers moi et me dit qu’il est temps pour nous de rentrer, nous prenons donc la direction du campement. Le chemin me semble plus facile que à l’allé et ce malgré ma fatigue, les muscles de mes jambes me font souffrir terriblement, mais j’avance tout de même porté par la promesse d’un bon repas et d’un lit douillet.
Notre petit groupe arrive enfin près du campement, une agréable fumée sort de la petite cheminée, le vent charrie des odeurs de lapin grillé, mon estomac me rappelle alors à l’ordre, il est vrais que je n’ai pas déjeuné. Toute ma fatigue disparaît alors, je suis transporté par mon estomac vers ça pitance.

Il ne reste personne hormis la cuisinière, Jean prends son repas et sort de la maison, je prends ensuite le miens suivit par Henri. Nous nous asseyons à la même table et commençons à manger. Je me demande pourquoi tu me fais faire cela, dis-je en parlent de l’épreuve de la journée. Il me répond en me disant que il était normale que je me pose ce genre de question mais qu’il n’y répondrais pas, comme il me lavais déjà dit, je ne saurais rien de ce qui m’attend trop en avance. Le repas continue et ce termine bien vite, Henri prend congé de moi et ce dirige vers sa chambre après m’avoir conseillé d’aller me coucher, car nous recommençons demain ajout il à sa phrase.
En effet dis-je tout haut pour moi seul, si je dois recommencer demain, je ferais mieux de dormir une bonne nuit, je me dirige donc vers ma chambre après avoir débarrassé mon assiette. La fatigue ce fait sentir dès que j’entre dans mon lit, Morphée m’accueil vite dans ses bras.

Après quelques minutes, la porte de bois et de tissus s’ouvre violement, le bois de la porte vient heurter celui de l’encadrement, c’est ce bruit qui me réveille en sursaut. Debout fainéant il est plus que l’heure, suivis d’une porte qui claque à nouveau. Trop aimable le réveille Jean, bien que ce dernier est déjà loin je ressens le besoin de formuler cette phrase à haute voix. En regardant par la fenêtre de ma chambre, je m’aperçois que le soleil se lève déjà. Je me dépêche de m’habiller et me dirige ensuite vers la cuisine. Henri m’y attend ainsi que Jean, visiblement aucun d’eux n’est très content. Henri prend la parole et me dit « je te signale que Jean t’as dit hier d’être près pour le levé du soleil, tu as beaucoup à apprendre, tu n’as pas le temps pour dormir ».
Bien sûr il ne m’en avait pas parlé, il faut croire qu’il voulait me discréditer. Quoi qu’il en soit, je n’ai pas le choix, rentrer dans un débat stérile ne me servirait à rien.
Encore une fois nous prenons le même chemin et je recommence l’exercice.

Une semaine c’est écoulée depuis le début de mon entrainement, je réussis à faire pas loin de 150mètres d’une traite maintenant et je commence enfin à être moins fatigué, je suppose que je m’habitue aux exercices. J’ai un amis que j’ai un peu laissé tomber dernièrement, je décide de le contacter Hermès es-tu là ? Voila seulement maintenant que tu me recontacte me répond l’intéressé. Je m’excuse, mais tu as vus toi-même, je n’étais pas vraiment en grande forme pour discuter. As-tu des nouvelles de notre époque ? Voyons, comment veux tu que j’en aille, nous somme on ne sait où et on ne sait quand, comment veux tu que nous soyons contacté. J’acquiesce ca réponse et lui demande s’il n’a pas trop dure d’être éloigné des siens car pour moi c’est terrible et je peux dialoguer avec qui je veux. Il me répond qu’il essaye de ne pas trop y penser, mais qu’en effet cela n’est pas facile.
Que devons nous faire à ton avis Hermès ?
Je n’en sais trop rien, je suis toujours au temps dans l’ignorance et crois moi, ce n’est pas facile pour moi.
Des nouvelles de l’instigateur de notre petit voyage ?
Non aucune, je n’ais toujours pas d’indice sur son identité.
Je vois… lui répondis-je songeur.
Après quelques minutes de discussion nous décidons qu’il est temps que je m’endorme, Hermès quant à lui prend une fois de plus la direction du palais divin en quête d’une quelconque chose pouvant nous aider.

Je me réveille et une nouvelle journée recommence.


Total : 61 Messages. Page n°3/5 - < 1 2 3 4 5 >
Espace Membre

Identifiant

Mot de Passe

Se souvenir de moi